lundi 21 septembre 2015

suite




 Luxuriance des décors extérieurs et luxuriance des polychromies intérieures avec ses dorures, on est un peu écrasés par tant de magnificence au service des pouvoirs temporels et ecclésiastiques.
Les plafonds n'échappent pas à la règle.


 C'est sans doute pour cela que j'ai choisi de vous montrer des sculptures plus simples, répondant à la personnalité de leur modéle.


 Saint Onophrius:
 revêtu de ses seuls cheveux et de sa barbe. Sculpté entre 1486 et 1515 par Alejo de Vahià

suivi de Saint François d'Assise
 Je n'ai pas noté ni l'auteur ni le modèle de cette superbe tête à laquelle j'ai trouvé un petit air de ressemblance avec Jérémy Irons  .....


 Positionné devant une fenêtre j'ai pourtant longuement tourné autour..
 et le cri dévastateur de celui-ci  était bien empreint de colère !!
Puis la figure de cet artisan de la Crucifixion qui hisse la croix.



 Un peu le même état d'esprit lorsque j'ai traversé la rue pour aller au Palais Villena admirer l'exposition sur le thème de la mélancolie.
La beauté de ces bronzes me réconcilie avec la vie,

et ce seau oublié devant ce splendide azuleros, sera une belle introduction sur les réalités  de la rue qu'il faut rejoindre.

http://www.elnortedecastilla.es/fotos/valladolid/201507/01/museo-nacional-escultura-inaugura-30112280035133-mm.html
 Ouvrez le lien et en suivant les flèches, admirez les oeuvres du El Greco, Rubens,  Murillo etc surtout "Saturne dévorant un de ses fils".... conflit entre la jeunesse et la vieillesse (visible habituellement au Musée du Prado)

 http://utpictura18.univ-montp3.fr/GenerateurNotice.php?numnotice=A0139

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