vendredi 5 septembre 2014

Les ours


 N'y a-t- il pas une tristesse pensive dans ce regard?

Ils vont bien, quoique je perçoive quelque changement dans leur pelage, leur environnement immédiat est un peu pelé sous leur va et vient, je n'ai pas rencontré cette année leur soigneur.



 Leur attitude presque humaine attire toujours la sympathie mais on ressent pleinement leur nature sauvage.



Si les conditions de captivité  se font sous les meillleures conditions, c'est quand même la prison et ils n'ont plus droit aux myrtilles qui couvrent les sous-bois de cette région magnifique, non plus de goûter aux champignons.



 ni de se vautrer dans les bruyères ou les herbes folles.



Mais si, mais si, François ! c'en est bien un, il n'était pas là l'an passé mais il se cache et sans doute remâche sa malchance !!!



Les loups s'y sont fait et au lieu d'arpenter avec désespoir les lisières de leur nouveau petit territoire, attendent patiemment leur pitance.



Moi qui adore "crapahuter" en liberté, c'est un pincement au coeur!


1 commentaire:

  1. Deux pinceaux dans les herbes folles
    rien ne lui échappe
    le lynx aux aguets

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