lundi 29 septembre 2014

Hésitations




Je voudrais brûler les étapes et revenir plus vite à l'art pour lequel je vous réserve de belles surprises, toutefois, fidèle à la transmission de mes coups de coeur, je ne peux m'empêcher de vous parler encore de quelques éléments scientifiques spécifiques de Toulouse.



Le progrès scientifique est à mes yeux universel, bien que la concurrence économique oblige à conserver  des avancées nationales.

 Ce n'est pas le cas du projet Européen d'intégration d'infrastuctures de recherche aéroportée, EUFAR qui donne aux scientifiques européens qui n'en ont pas les moyens, techniquement ou financièrement, la possibilité d'accéder à la recherche sur l'environnement grâce à sa flotte, du Piper Aztec, petit bimoteur adapté à l'étude des basses couches jusqu'au Falcon 20 qui explore les plus hautes altitudes.

Il y a une logique dans cet intérêt que je porte à cette recherche puisque de l'état de l'environnement dépend l'évolution de la nature.

 Safire, entre autres, a participé aux études préalables avec l'ATR2 en vue de la mission spatiale franco-chinoise CFOSAT, prévue en 2015.

www.eufar.net

ce collecteur date d'une trentaine d'années, depuis on a fait beaucoup mieux.



Mais au Planétarium il y avait beaucoup d'autres présentations, par exemple,
 le Bac à sable dont je vous ai déjà parlé, le Digital reflect ...



 et aviation oblige, une charmante hôtesse qui testait sur elle-même un petit cardiogramme et un encéphalogramme  destinés aux pilotes pour mesurer leurs réactions en cas de coup dur,

 programme de recherche de l'ISAE et de l'Université Canadienne de Laval.

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