mardi 9 avril 2019

Picasso et la tauromachie

 Rien d'extraordinaire pour un espagnol d'être "aficionado"  et Picasso en fut un

fervent : sur cette capture d'écran de l'INA on peut le voir en compagnie de

Cocteau et de Françoise, dans les arênes d'Arles.





Ce sont toutefois,  de prime abord, les toiles de ses contemporains et amis

que je vous propose







 de son côté Fernandez exprime son horreur de la guerre dans des toiles de

combats tauromachiques ou de crânes










































           très belle toile aussi que cette dernière


 Pere  Creixams (Barcelone, 1893-1965)  n'est pas un exilé puiqu'il 

arrive  à Paris en 1917 et après quelques années passés à Montparnasse, il 

finira par s'y installer, en 1922.   Il participa dans de nombreuses aventures 

 culturelles de son époque et exposa dans les meilleures galeries de Paris. 

Modernité et influences ibériques  transparaissent dans ses toiles.


 Voyons maintenant cette jolie série d'estampes peintes par Picasso et qui

 retracent toutes les phases de la "faena".











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