A la descente, la bouche bleue de myrtilles, nous avions les mollets rouges de leur écrasement.
C'est aussi chez moi, Toulouse, l'Ariège, le Couserans, et bien d'autres.... éclectisme et diversité, toute une vie.
Au revers du Col Dret maintes fois traversé, et toujours depuis le sommet de la Pique, voici l'étang de Lers et ses lherzolites, une remontée spectaculaire depuis le magma profond.
J'ai emprunté ces photos à François trop occupée à ma survie pour en prendre moi-même; cette Pique est un véritable gruyère truffé de lapiaz ou cairissa.Des gouffres profonds sont dans son sous-sol explorés par l'équipe spéléologique de Florence Guillot, quand elle n'est pas en Papouasie.
Parvenus au sommet, le chien Puce est plaqué au sol pour ne pas effrayer les chèvres, royales et curieuses, sur ces 1900 mètres de roches.
au loin une silhouette familiale, mon Guilhem, sans peur et sans reproche
et l'Espagne.
Pour clore cet article, un porte-bonheur de nos chères Pyrénées la carline ou acaule
Vous pouvez visionner les photos dans leur format d'origine en cliquant dessus Encore merci au photographe!!
Eh ! bien, quelle santé ! Quand je lis "Au loin… c'est l'Espagne", j'ai l'émotion de la crête, qui est aussi la frontière, et j'adore cette émotion de "l'autre côté".
RépondreSupprimerUn bien bon souvenir !
RépondreSupprimerUn brin d'aventure et des photos qui ne restituent que partiellement la beauté (et les quelques dangers) de ce site. Pourtant je les regarde toujours (et souvent) avec beaucoup de plaisir. Celui de l'effort partagé, du dépassement et des difficultés surmontées.
Quel courage,quelle volonté le Pic de la Courme culmine quand même à 2826 m ;une famille de marcheurs passionnés qui aime se lancer des défis .
RépondreSupprimer