Quand on est sportif, c'est par tous les temps !!
plus de chemin
Nous voilà partis, Guilhem et moi, dans les gorges de la Frau, pour herboriser sous une pluie fine avec un avis de grêle pour l'après-midi.
hellébores, monnaies du pape et autres plantes sauvages plus difficiles à identifier, faisaient l'objet de nos recherches, avec toutefois un oeil vigilant tourné vers les sommets pour parer à quelque chûte de pierres ou d'arbres.
Ces gorges, en été, abritent dans leur sous-sol, l'Hers, invisible, mais aujourd'hui et c'est une première, il était transformé en torrent tumultueux qui passait sous les pontilles en virages grondants.
L'ascension se poursuivait, le chemin se ravinait
de plus en plus jusqu' au moment où il devenait inexistant, brisé, emporté par un nouveau torrent qui l'avait pris pour lit .
Nous n'avons pu continuer, les flots rageurs nous interdisant le passage.
ce qui à flanc de pente était assez terrorisant.
Les cantonniers auront bien du mal à reconstituer un chemin .
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