Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte
Paul Verlaine
Cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose ? (Radio Londres, les français parlent aux français)
Dans le brouillard s'en vont un paysan cagneux
Et son boeuf lentement dans le brouillard d'automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s'en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d'amour et d'infidélité
Qui parle d'une bague et d'un coeur que l'on brise
Oh! l'automne a fait mourir l'été
Dans le brouillard s'en vont deux silhouettes grises.
De ma fenêtre
Derniers feux de l'automne
Avant l'extinction
Isarde
J'ai fait un petit sondage , vous aimez les photos et les poèmes, l'histoire pas trop.... alors un autre haï kaï:
Les rouges, jaunes
S'entremêlent entre eux
Feux d'artifice
et la célèbre "feuille d'autome emportée par le vent
En rondes monotones tombe en tourbillonnant...
Au fond du jardin
Les feuilles du cerisier
S'accrochent encor
Isarde
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