Cathédrale de la Sède, enceinte du Palais des Evêques.
Contrairement à Soulages ce bleu, en fourrure, n'accroche pas la lumière.
Il n'en sera pas de même pour Olivier Debré dont on peut saisir plusieurs nuances dans sa toile.
J'ai sans doute déjà évoqué ce fameux pastel qui est à l'origine des somptueux hotels particuliers des "pasteliers" de la Renaissance à Toulouse.
http://www.persee.fr/doc/ahess_0395-2649_1954_num_9_1_2241
Il faut aussi mentionner le Bleu de Prusse qui est un pigment synthétique découvert en 1709 par Johan Jacob Diesbach, erreur qui ne fut pas fatale car pour obtenir un beau rouge, ce fabricant de couleur eut l'idée de mélanger de la potasse de décoction de cochenille avec du sulfate de fer mais son carbonate de potasse est frelaté et c'est un précipité bleu qui en ressort ; le Bleu de Berlin ou Bleu de Prusse.
http://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geologie-couleur-bleue-sous-tous-angles-785/page/3/
http://www.seuil.com/ouvrage/bleu-de-sevres-jean-paul-desprat/9782020881517
http://valentine.archeo.free.fr/patrimoine/salon/page2.php
http://www.lacompagniedesocres.fr/home.php
et pou finir, le bleu de ma croix occitane. (Catherine Juge-Thouroude)
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