mercredi 15 mai 2019
Valence romaine : l'Almoina
récapitulatif historique qui va mieux nous expliquer la ruine de Valence
https://www.arretetonchar.fr/la-conquete-de-lhispanie-par-les-romains/
Valentia a été fondée pour installer les soldats romains retraités en 138 avant
J C. Les principaux vestiges archéologiques sont des trous de piliers creusés
dans les couches naturelles correspondant à des magasins comme
ceux des campements militaires. Depuis le moment précis de sa fondation, la
céramique accompagne et explique l'histoire de la cité dans de très
nombreuses décharges constituées de récipients de céramique remplis
d'offrandes rituelles. Ces céramiques ont daté les processus évolutifs de la
cité. Dans les premiers moments de Valentia une bonne partie de la
céramique sera importée de la Péninsule Italienne et dans une moindre part
des zones puniques et grecques. Elles ont de la valeur pour elles-mêmes,
comme c'est le cas pour la vaisselle de table au vernis noir, issue du monde
grec, mais aussi les récipients contenants les aliments, les amphores pour le
transport du vin, des salaisons de poisson et de l'huile.
Aprés 63 ans d'existence, les guerres civiles commencées en Italie eurent des
conséquences dramatiques pour Valentia et une partie de l'Hispanie qui se
divisa entre les partis de l'aristocratie sénatoriale et ceux des partis populaires
qui représentaient les couches les plus basses. L'armée sénatoriale de Pompée
rasa la ville après la bataille sur les rives du Turia. De bonnes preuves de cette
destruction sont les fortes traces d'incendie et d'écroulement qui sont apparues
dans Valentia. Il en est de même pour les nombreuses céramiques cassées
pendant la destruction, de l'armement ainsi que des restes de soldats rebelles
victimes du feu. Les céramiques de ces instants indiquent toujours une grande
dépendance des produits italiens bien que les fabrications autochtones soient
de plus en plus courantes. Les premières de vernis noir et les amphores
proviennent de Campanie et les secondes sont de provenance ibériques.
Céramiques de l'Empire : réoccupation de la cité
Pendant 50 années Valentia n'exista plus. Au moment du changement d'ère
on trouve les premiers indices d'occupation ou de fondation de la ville, ce sont
les céramiques utilisées lors des banquets rituels, déposés dans la fosse du
sanctuaire d'Asclepios, dans l'Almoina à côté de restes d'animaux sacrifiés.
Au total 677 récipients en bon état de conservation et bien datées de la fin du
règne d'Auguste. A l'époque de Tibère, les travaux du "decumanus" (rue
orientée est-ouest) de l'Almoina furent précédés par un rituel votif où les
liquides et les libations tenaient un rôle prépondérant. On disposait des jarres
et des coupes autour d'un bois de cerf juste en bas de la nouvelle rue
(je me souviens juste à l'instant avoir vu ces mêmes dépots dans une villa en Aragon du Nord: la Olmedia archives 15 08 2015)
et on devait mettre en relation ces rituels avec la bonne fortune du nouveau
pavement de la voie. Le grand développement urbain eut lieu à partir de
l'époque Flavienne quand se créa la colonie romaine : on agrandit l'enceinte de
la cité, on construisit le cirque et le centre civique se monumentalisa.
A cette période, la vaisselle fine de table venait du sud de la Gaule, de la Rioja
et de Tunisie. A partir du milieu du III siècle après J.C, les preuves
archéologiques mettent en évidence un effondrement urbain, un défaut de
maintenance d'infrastructures et une destruction générale entre 270 et 280
après J.C bien que se perpétuaient les importations de céramiques africaines
et d'autres points de la Méditerranée.
Revenons aux structures urbaines :
Ier siècle avant J.C Epoque romaine républicaine
Les romains appellaient "horreum" l'édifice public où l'on conservait les
céréales et autres produits de première nécessité de telle sorte que
l'approvisionnement de la cité soit pérennisé. A cette fin, il était situé dans un
espace central, à côté du Forum pour ếtre bien gardé et facile d'accés.
L'horreum est un édifice aux notables dimensions construit dans de grandes
dalles de pierre sableuses. Il avait 24 mètres de côté et occupait un espace
complet : nous pouvons contempler une petite part de ce grand édifice formé
par quatre grands murs paralléles.
soubassement de statue équestre
maquette de l'Almoina au II éme après J.C
Aux Romains succédérent les arabes plus tard reconduits dans leurs pays par
la Reconquête. Nous verrons l'héritage céramique si caractéristique qu'ils nous
ont laissé.
https://journals.openedition.org/oceanindien/1203
https://www.herodote.net/Le_Cid_Campeador_1043_1099_-synthese-623.php
mardi 14 mai 2019
l'Almoina
Plongée, oui, sous le grand bassin, mais peu profond, qui sert de toit aux
vestiges de la Valence romaine et wisigothe.
Les fouilles ont permis de retrouver les bases de cette présence romaine et
l'aménagement qui permet de marcher tout au long de cette ville romaine
donne un peu le vertige, il est considéré comme un des centre archéologique
les plus importants d'Europe.
.
Nous y verrons quelques éléments de vaisselle, d'ailleurs les expositions
différentes sur les 'Manises at autre Talavera" m'ont donné à penser qu'il
n'était pas étonnant que Picasso (que nous retrouverons bientôt au Musée des
Beaux-Arts), se soit lancé dans l'élaboration de céramiques.
http://www.spainisculture.com/fr/propuestas_culturales /ceramica_de_manises.html
traduction un peu plus tard
ce qui m'a le plus impressionné est le Cardus maximus cette voie centrale que
l'on retrouve toujours dans l'urbanisation romaine ; on comprend que les voies
romaines aient "tenu le coup" au long des siècles, c'est mieux que le béton !!
Je reviendrai un peu plus tard dans la journée sur cet article qui mérite d'être
approfondi
Sculpture funéraire même époque
https://www.youtube.com/watch?v=yOReyI8hkvE
Je préfère me consacrer à la suite de cet article dès demain, la journée a été
éprouvante.
vestiges de la Valence romaine et wisigothe.
Les fouilles ont permis de retrouver les bases de cette présence romaine et
l'aménagement qui permet de marcher tout au long de cette ville romaine
donne un peu le vertige, il est considéré comme un des centre archéologique
les plus importants d'Europe.
.
Nous y verrons quelques éléments de vaisselle, d'ailleurs les expositions
différentes sur les 'Manises at autre Talavera" m'ont donné à penser qu'il
n'était pas étonnant que Picasso (que nous retrouverons bientôt au Musée des
Beaux-Arts), se soit lancé dans l'élaboration de céramiques.
http://www.spainisculture.com/fr/propuestas_culturales /ceramica_de_manises.html
traduction un peu plus tard
ce qui m'a le plus impressionné est le Cardus maximus cette voie centrale que
l'on retrouve toujours dans l'urbanisation romaine ; on comprend que les voies
romaines aient "tenu le coup" au long des siècles, c'est mieux que le béton !!
Je reviendrai un peu plus tard dans la journée sur cet article qui mérite d'être
approfondi
Sculpture funéraire même époque
https://www.youtube.com/watch?v=yOReyI8hkvE
Je préfère me consacrer à la suite de cet article dès demain, la journée a été
éprouvante.
lundi 13 mai 2019
El Almudin
Je vois que vous avez apprécié de sortir du gothique et du baroque,.....
je vais toutefois vous faire à nouveau traverser les siècles.
Cet ancien dépot à grains du début du XIV ème a été construit sur l'ancien
emplacement d'un fortin arabe qui défendait l'accés nord de la ville. transformé
en un espace dédié aux expositions temporaires qui m'ont malheureusement
privée de pouvoir embrasser la totalité de l'édifice construit sur un plan
basilical à trois nefs.
https://www.visitvalencia.com/fr/que-faire-valencia/culture-valencienne/musees-de-valencia/almudin-valencia
Ces tonalités neutres sont très plaisantes à regarder au contraire de la palette
de couleurs si étendue de St Nicolas.
http://www.jdiezarnal.com/valenciaelalmudin.html
El almudín era el edificio donde se guardaba y almacenaba el trigo y otros granos para la venta y distribución en la ciudad de Valencia. La escasez de grano era uno de los mayores problemas con que se podían enfrentar las autoridades municipales en la Edad Media, por lo que un edificio amplio y en condiciones era una cuestión de vital importancia. Nuestro almudín fue construido hacia 1307 sobre el antiguo alcázar musulmán pero fue ampliado durante los siglos XV y XVI. Este edificio-almacén era el principal, pero no el único, ya que se conocen otros almacenes de grano tanto en época musulmana como cristiana.
El nombre almudín procede de la voz árabe "almud" que era una unidad de medida de granos usada en la época. Hasta el siglo XV el Almudín era propiedad Real "L'Almodí del Senyor Rei", por lo que podemos hacernos una idea de la importancia que representaba un edificio de estas características. Hacia finales del siglo XV la propiedad pasa a manos del "Consell Municipal de la Ciutat" que será el encargado del abastecimiento de grano, custodia, y regulación. Para ello se creó una compleja red de funcionarios que se encargaban de tan importante tarea. No hay que olvidar que la ausencia de grano y harina y por lo tanto de pan, podía ser fuente de motines y tumultos de impredecibles consecuencias.
Su configuración actual data del siglo XV cuando el edificio es ampliamente reformado, interviniendo en ella los canteros más ilustres de la época. De planta rectangular irregular, su interior se divide en tres naves, la central más amplia y alta que las laterales que quedan separadas por arcadas de medio punto apoyadas en pilares. Seis arcos en cada uno de sus lados mayores y dos en los menores. La cubierta del edificio es toda ella de madera, siendo la nave central a doble aguas y de mayor altura, mientras que las laterales lo hacen a una sóla vertiente. En origen el edificio estaba almenado y disponía de un camino de ronda para su defensa. Si nos fijamos hoy en día, todavía podemos ver el almenado que disponía, bien es cierto que un poco distorsionado por reformas posteriores. El hecho de que el edificio dispusiera de almenas nos vuelve a hablar de la importancia que se daba al suministro de grano de la ciudad.
L'almudin est l'édifice où l'on gardait et emmagasinait le blé et d'autres grains pour la vente et la distribution dans la ville de Valence. Le manque de grain était un des problèmes majeurs auquel les autorités pouvaient être confrontées au Moyen Age ce pourquoi un édifice vaste et bien conditionné était une question d'importance vitale. Notre almudin fut construit aux environs de 1307 sur un ancien alcàzar musulman mais agrandit au XV ème et XVI ème siècle. Cet édifice-magasin était le principal mais n'était pas le seul, d'autres magasins de grains sont connus autant pendant la période musulmane que chrétienne.
Le nom "almudin" vient du vocable "almud" qui était une mesure de grains utilisée à l'époque . Jusqu'au XV ème siècle el Almudin était propriété royale "l"Almodin du Seigneur Roi" , ce qui nous donne une idée de l'importance que représentait un tel édifice. Aux environs de la fin du XV ème la propriété passe aux mains du "Conseil Municipal de la ville" qui sera chargé de l'approvisionnement du grain, de sa garde et de sa réglementation. Pour cela fut créé un réseau de fonctionnaires qui se chargeaint d'une tache aussi importante. Il ne faut pas oublier qu'une pénurie de grain et de farine et par conséquent de pain pouvait être le prétexte à des motifs et des tumultes aux conséquencs imprévisibles.
Sa configuration actuelle date du XVème lorsque il fut largement transformé par les plus illustres tailleurs de pierre de l'époque. De plan rectangulaire irrégulier l'intérieur se divise en trois nefs, la plus ample et la plus haute étant celle du milieu, celles des côtés séparées par des arcades appuyées sur des piliers. Six arcades pour ses principaux côtés et deux pour les plus petits. la vpûte est tout entière en bois. A l'origine l'édifice était défendu par un chemin de ronde. de nos jours on peut toujours voir les tours crénelées qui prouvent l'importance du bâtiment dans l'administration de la ressource.
à suivre
je vais toutefois vous faire à nouveau traverser les siècles.
Cet ancien dépot à grains du début du XIV ème a été construit sur l'ancien
emplacement d'un fortin arabe qui défendait l'accés nord de la ville. transformé
en un espace dédié aux expositions temporaires qui m'ont malheureusement
privée de pouvoir embrasser la totalité de l'édifice construit sur un plan
basilical à trois nefs.
https://www.visitvalencia.com/fr/que-faire-valencia/culture-valencienne/musees-de-valencia/almudin-valencia
Ces tonalités neutres sont très plaisantes à regarder au contraire de la palette
de couleurs si étendue de St Nicolas.
http://www.jdiezarnal.com/valenciaelalmudin.html
El almudín era el edificio donde se guardaba y almacenaba el trigo y otros granos para la venta y distribución en la ciudad de Valencia. La escasez de grano era uno de los mayores problemas con que se podían enfrentar las autoridades municipales en la Edad Media, por lo que un edificio amplio y en condiciones era una cuestión de vital importancia. Nuestro almudín fue construido hacia 1307 sobre el antiguo alcázar musulmán pero fue ampliado durante los siglos XV y XVI. Este edificio-almacén era el principal, pero no el único, ya que se conocen otros almacenes de grano tanto en época musulmana como cristiana.
El nombre almudín procede de la voz árabe "almud" que era una unidad de medida de granos usada en la época. Hasta el siglo XV el Almudín era propiedad Real "L'Almodí del Senyor Rei", por lo que podemos hacernos una idea de la importancia que representaba un edificio de estas características. Hacia finales del siglo XV la propiedad pasa a manos del "Consell Municipal de la Ciutat" que será el encargado del abastecimiento de grano, custodia, y regulación. Para ello se creó una compleja red de funcionarios que se encargaban de tan importante tarea. No hay que olvidar que la ausencia de grano y harina y por lo tanto de pan, podía ser fuente de motines y tumultos de impredecibles consecuencias.
Su configuración actual data del siglo XV cuando el edificio es ampliamente reformado, interviniendo en ella los canteros más ilustres de la época. De planta rectangular irregular, su interior se divide en tres naves, la central más amplia y alta que las laterales que quedan separadas por arcadas de medio punto apoyadas en pilares. Seis arcos en cada uno de sus lados mayores y dos en los menores. La cubierta del edificio es toda ella de madera, siendo la nave central a doble aguas y de mayor altura, mientras que las laterales lo hacen a una sóla vertiente. En origen el edificio estaba almenado y disponía de un camino de ronda para su defensa. Si nos fijamos hoy en día, todavía podemos ver el almenado que disponía, bien es cierto que un poco distorsionado por reformas posteriores. El hecho de que el edificio dispusiera de almenas nos vuelve a hablar de la importancia que se daba al suministro de grano de la ciudad.
L'almudin est l'édifice où l'on gardait et emmagasinait le blé et d'autres grains pour la vente et la distribution dans la ville de Valence. Le manque de grain était un des problèmes majeurs auquel les autorités pouvaient être confrontées au Moyen Age ce pourquoi un édifice vaste et bien conditionné était une question d'importance vitale. Notre almudin fut construit aux environs de 1307 sur un ancien alcàzar musulman mais agrandit au XV ème et XVI ème siècle. Cet édifice-magasin était le principal mais n'était pas le seul, d'autres magasins de grains sont connus autant pendant la période musulmane que chrétienne.
Le nom "almudin" vient du vocable "almud" qui était une mesure de grains utilisée à l'époque . Jusqu'au XV ème siècle el Almudin était propriété royale "l"Almodin du Seigneur Roi" , ce qui nous donne une idée de l'importance que représentait un tel édifice. Aux environs de la fin du XV ème la propriété passe aux mains du "Conseil Municipal de la ville" qui sera chargé de l'approvisionnement du grain, de sa garde et de sa réglementation. Pour cela fut créé un réseau de fonctionnaires qui se chargeaint d'une tache aussi importante. Il ne faut pas oublier qu'une pénurie de grain et de farine et par conséquent de pain pouvait être le prétexte à des motifs et des tumultes aux conséquencs imprévisibles.
Sa configuration actuelle date du XVème lorsque il fut largement transformé par les plus illustres tailleurs de pierre de l'époque. De plan rectangulaire irrégulier l'intérieur se divise en trois nefs, la plus ample et la plus haute étant celle du milieu, celles des côtés séparées par des arcades appuyées sur des piliers. Six arcades pour ses principaux côtés et deux pour les plus petits. la vpûte est tout entière en bois. A l'origine l'édifice était défendu par un chemin de ronde. de nos jours on peut toujours voir les tours crénelées qui prouvent l'importance du bâtiment dans l'administration de la ressource.
à suivre
dimanche 12 mai 2019
Le marché central
Parfaitement intégré à l'environnement déjà décrit, sa structure métallique, sa
coupole, ses azulejos et les céramiques vernissées sont un plaisir pour l'oeil
auquel s'ajoutent les couleurs des fruits ou des poissons.
C'est le fleuron de l'architecture moderniste valencienne construit enntre 1914
et 1928 par Alejandro Soler et Francesc Guardia. C'est le plus grand marché
couvert d'Europe avec ses 8.000 mètres carrés de surface.
Un plaisir aussi de déambuler en toute quiétude devant le millier d'étals que
compte le marché ; saisissant contraste avec celui de Barcelone aussi encombré
que des couloirs de métro à l'heure de pointe.
Outre les légumes et fruits de la "huerta" on vous y rappelle que Valence est
un port..
les prix sont affichés au quart ou à la livre
les oignons sont présentés sans leurs pelures
Nous ne pouvions qu'aller tester ces produits, cuisinés, et pour cela nous avons
trouvé le petit resto branché "Vuelve Carolina" du chef Quique Dacosta, les
desserts sont particulièrement succulents. On y est revenu, d'ailleurs ...
Tous ces trophées de carton surmontent le bar à tapas qui fait face à
l'alignement des tables.
Délicieuse et originale entrée
le tout servi sur des planchettes de bois
pistache et chocolat
glace et yaourt à la violette
Il vaut mieux réserver
coupole, ses azulejos et les céramiques vernissées sont un plaisir pour l'oeil
auquel s'ajoutent les couleurs des fruits ou des poissons.
C'est le fleuron de l'architecture moderniste valencienne construit enntre 1914
et 1928 par Alejandro Soler et Francesc Guardia. C'est le plus grand marché
couvert d'Europe avec ses 8.000 mètres carrés de surface.
Un plaisir aussi de déambuler en toute quiétude devant le millier d'étals que
compte le marché ; saisissant contraste avec celui de Barcelone aussi encombré
que des couloirs de métro à l'heure de pointe.
Outre les légumes et fruits de la "huerta" on vous y rappelle que Valence est
un port..
les prix sont affichés au quart ou à la livre
les oignons sont présentés sans leurs pelures
Nous ne pouvions qu'aller tester ces produits, cuisinés, et pour cela nous avons
trouvé le petit resto branché "Vuelve Carolina" du chef Quique Dacosta, les
desserts sont particulièrement succulents. On y est revenu, d'ailleurs ...
Tous ces trophées de carton surmontent le bar à tapas qui fait face à
l'alignement des tables.
Délicieuse et originale entrée
le tout servi sur des planchettes de bois
pistache et chocolat
glace et yaourt à la violette
Il vaut mieux réserver
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