En France nous assistons à un essor où les fabriques rivalisent de créativité; rien que pour les Moustiers, les décors font preuve d'inventivité:
"à la Berain, au Chinois, aux fleurs de solanée, aux grotesques, aux drapeaux, et les vitrines du Musée Ingres nous en proposent un bel exemple.
Mais pour les collectionneurs il y a aussi les "Strasbourg"," les Rouen"," les Marseille" parmi les plus célèbres. Plusieurs provinces françaises avaient leur fabrique respective.
(Allez aussi dans la Pharmace de Saint Lizier pour admirer les pots de pharmacie. )
Ici, il ne s'agit pas de jouer avec les reflets, il faut les éviter et ce n'est pas facile.
Contrairement à la peinture ce sont des décors floraux, mais nous avons vu dans les majoliques, de véritables scènes mythologiques et même des portraits; l'inconvénient de ce support "utilitaire" en même temps que décoratif, réside dans sa fragilité.
Moins peut-être que celle de la porcelaine.
La faïence permettait une identification du produit conservé avec un étiquetage indélébile.
cache-pots ou grands plats de service
soupières et leurs couvercles:
rafraichissoirs ou jardinières,
bouquetiers, petits bouillons à oreilles, chaque faïence mériterait une photo à elle seule.
En matière de faïence un article sur les Palissy, serait le bienvenu.
http://www.sevresciteceramique.fr/documents/scc___a_propos_de_bernard_palissy_pdf=doc95.pdf
Mais restons à Montauban avec ce beau plat "au Chinois"
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