peut-être parce que en faisant le tour de la ville, 7 km de rempart du XIIIè, vues sur la ville chaude de ses couleurs et de sa température ( bien qu'au matin !!!)
j'y ai trouvé un poète: Ildefonso Manuel Gil: je n'ai pas eu besoin d'ouvrir un livre, quelques uns de ses poèmes étaient là sous mes yeux:
extraits de Cancionero segundo
dans le pur cristal du sentiment
accordant mémoires et espérances
dans la simple ambition d'être bon
peut-être un autre ?
je vous donne un lien et me propose de vous traduire le poème qui vous intrigue ou vous plait http://www.xiloca.com/data/Bases%20datos/Xiloca/425.pdf
virils, vont résonnants
les chants des vendangeurs, gaieté
du coeur qui obtient ce qu'il espère
pendant qu'octobre s'agenouille et frappe
avec ses doigts de brise , paisible
l'ivresse de l'été et le printemps,
la terre bénie de Daroca
Mais je suis aussi là pour l'art mudejar qui se décline dans toute la ville
Recherche assez facile d'un petit "arbol" pour poser la voiture à l'ombre et pique-nique au bord de la rue sur un banc à l'ombre aussi, mais trafic intense, entre la Porte Basse et la Porte haute, obligée de touver un créneau pour atteindre la poubelle publique malencontreusement positionnée de l'autre ...côté de la rue.
http://www.xiloca.com/data/Bases%20datos/Xiloca/425.pdf
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