Alors que le cerisier pleure ses pétales le pommier éclot:
Mais les martinets ne sont pas encore là.....
Il faut plus d’une pomme,
Pour emplir un panier,
Il faut plus d’un pommier
Pour que chante un verger,
Mais il ne faut qu’un homme,
Pour qu’un peu de bonté,
Luise comme une pomme,
Que l’on va partager.
Maurice Carème
mais je n'ai qu'un pommier !!
ces quelques jours de grand beau-temps favorisent les travaux au jardin
et occupent toutes mes journées.
Le texte ci-dessous va me servir d'introduction pour les pommes des Hespérides
Carl Gustav Jung, Dialectique du Moi et de l'inconscient, 1933
La valeur personnelle ne peut résider que dans
l'élaboration philosophique, et non point dans la vision primaire.
Celle-ci, au début, chez le philosophe aussi, germe simplement et pousse
ses bourgeons à partir du même fond d'idées communes à l'humanité,
patrimoine auquel participe en principe tout un chacun : c'est du même
pommier que proviennent toutes les pommes d'or, que ce soit un apprenti
serrurier débile ou un Schopenhauer qui les ramasse, lorsqu'elles tombent au souffle de la vie.
-
Dialectique du Moi et de l'inconscient (1933),
Carl Gustav Jung (trad. Docteur Roland Cahen), éd. Gallimard, coll. Folio Essais, 1964
(ISBN 2-07-032372-2), partie I. Des effets de l'inconscient sur le conscient, chap. II. Les conséquences de l'assimilation de l'inconscient, p. 58
(Mais un serrurier même apprenti n'est pas forcèment débile!! comparaison contestable, il y eut des serruriers prestigieux (Louis XVI )
Hercule et les pommes du jardin des Hespérides
Tapisserie
Le onzième des Travaux consistait à rapporter les fruits d'or d'un
pommier, cadeau de la Gaia à Héra. Elle l'avait planté dans son jardin divin
qui se trouvait sur les pentes du mont Atlas, là où les chevaux du char du Soleil,
hors d'haleine achèvent leur randonnée et où les troupeaux d'Atlas (mille moutons
et mille vaches) se promenaient paisiblement dans les pâturages. Lorsqu'un jour
Héra s'aperçut que les filles d'Atlas, les
Hespérides, à qui elle avait
confié la garde de l'arbre, volaient les pommes, elle plaça Ladon, le
dragon vigilant, autour du pommier pour en interdire l'approche.
Bien que les pommes fussent la propriété d'Héra,
Atlas
en était
fier, comme un jardinier de ses beaux fruits, et Thémis l'avait
averti qu'un jour son arbre serait dépouillé de son or par un fils de
Zeus. Atlas,
qui n'avait pas encore été condamné à porter le globe terrestre
sur ses épaules,
construisit des murs solides autour du jardin et chassa tous les
étrangers de
son territoire. Héraclès, ignorant dans quel endroit se trouvait
le jardin des Hespérides,
traversa l'Illyrie jusqu'au fleuve Pô, patrie du dieu marin,
Nérée, l'Oracle.
Quand enfin Héraclès arriva sur le Pô, les nymphes du fleuve,
filles de Zeus
et de Thémis, le conduisirent à Nérée qui était endormi.
Héraclès se saisit
du vénérable dieu de la mer et, s'agrippant à lui malgré ses
multiples métamorphoses,
le contraignit à lui dévoiler le moyen de prendre les pommes
d'or.
Nérée avait conseillé à Héraclès de ne pas cueillir lui-même les pommes mais
d'utiliser Atlas pour le faire à sa place et de le soulager pendant ce temps
de son formidable fardeau, donc, en arrivant au jardin des Hespérides,
il demanda à Atlas de lui rendre ce petit service.
Atlas soutenant le monde
© Boris VALLEJO
Atlas aurait fait vraiment n'importe quoi en échange d'une heure de répit,
mais il redoutait Ladon qu'Héraclès alors tua d'une flèche tirée par-dessus
le mur du jardin. Héraclès s'était donc baissé pour recevoir le poids du globe
terrestre sur les épaules et Atlas était parti; il s'en revenait à présent avec
trois pommes cueillies par ses filles. Il trouvait que la liberté était bien
agréable et il décida de porter lui-même les pommes à Eurysthée,
à condition qu'Héraclès porte la terre pendant quelques
mois encore. Héraclès fit semblant d'accepter, mais comme il avait été prévenu
par Nérée de n'accepter aucune proposition de ce genre, il pria Atlas de reprendre
le globe pendant un instant, afin de mettre un coussinet sur sa tête. Atlas,
facilement trompé, posa les pommes sur le sol et reprit son fardeau, Héraclès
alors les ramassa et s'éloigna en lui faisant un petit salut ironique.
A quelques mois de là, Héraclès apporta les pommes à Eurysthée qui les lui
rendit; il les offrit alors à Athéna qui les restitua aux nymphes, car il était
interdit que la propriété d'Héra leur fût enlevée.
- See more at: http://mythologica.fr/grec/heraclet11.htm#sthash.Q7904bdk.dpuf
Le onzième des Travaux consistait à rapporter les fruits d'or d'un
pommier, cadeau de la Gaia à Héra. Elle l'avait planté dans son jardin divin
qui se trouvait sur les pentes du mont Atlas, là où les chevaux du char du Soleil,
hors d'haleine achèvent leur randonnée et où les troupeaux d'Atlas (mille moutons
et mille vaches) se promenaient paisiblement dans les pâturages. Lorsqu'un jour
Héra s'aperçut que les filles d'Atlas, les
Hespérides, à qui elle avait
confié la garde de l'arbre, volaient les pommes, elle plaça Ladon, le
dragon vigilant, autour du pommier pour en interdire l'approche.
Bien que les pommes fussent la propriété d'Héra,
Atlas
en était
fier, comme un jardinier de ses beaux fruits, et Thémis l'avait
averti qu'un jour son arbre serait dépouillé de son or par un fils de
Zeus. Atlas,
qui n'avait pas encore été condamné à porter le globe terrestre
sur ses épaules,
construisit des murs solides autour du jardin et chassa tous les
étrangers de
son territoire. Héraclès, ignorant dans quel endroit se trouvait
le jardin des Hespérides,
traversa l'Illyrie jusqu'au fleuve Pô, patrie du dieu marin,
Nérée, l'Oracle.
Quand enfin Héraclès arriva sur le Pô, les nymphes du fleuve,
filles de Zeus
et de Thémis, le conduisirent à Nérée qui était endormi.
Héraclès se saisit
du vénérable dieu de la mer et, s'agrippant à lui malgré ses
multiples métamorphoses,
le contraignit à lui dévoiler le moyen de prendre les pommes
d'or.
Nérée avait conseillé à Héraclès de ne pas cueillir lui-même les pommes mais
d'utiliser Atlas pour le faire à sa place et de le soulager pendant ce temps
de son formidable fardeau, donc, en arrivant au jardin des Hespérides,
il demanda à Atlas de lui rendre ce petit service.
Atlas soutenant le monde
© Boris VALLEJO
Atlas aurait fait vraiment n'importe quoi en échange d'une heure de répit,
mais il redoutait Ladon qu'Héraclès alors tua d'une flèche tirée par-dessus
le mur du jardin. Héraclès s'était donc baissé pour recevoir le poids du globe
terrestre sur les épaules et Atlas était parti; il s'en revenait à présent avec
trois pommes cueillies par ses filles. Il trouvait que la liberté était bien
agréable et il décida de porter lui-même les pommes à Eurysthée,
à condition qu'Héraclès porte la terre pendant quelques
mois encore. Héraclès fit semblant d'accepter, mais comme il avait été prévenu
par Nérée de n'accepter aucune proposition de ce genre, il pria Atlas de reprendre
le globe pendant un instant, afin de mettre un coussinet sur sa tête. Atlas,
facilement trompé, posa les pommes sur le sol et reprit son fardeau, Héraclès
alors les ramassa et s'éloigna en lui faisant un petit salut ironique.
A quelques mois de là, Héraclès apporta les pommes à Eurysthée qui les lui
rendit; il les offrit alors à Athéna qui les restitua aux nymphes, car il était
interdit que la propriété d'Héra leur fût enlevée.
- See more at: http://mythologica.fr/grec/heraclet11.htm#sthash.Q7904bdk.dpuf
Le onzième des Travaux consistait à rapporter les fruits d'or d'un
pommier, cadeau de la Gaia à Héra. Elle l'avait planté dans son jardin divin
qui se trouvait sur les pentes du mont Atlas, là où les chevaux du char du Soleil,
hors d'haleine achèvent leur randonnée et où les troupeaux d'Atlas (mille moutons
et mille vaches) se promenaient paisiblement dans les pâturages. Lorsqu'un jour
Héra s'aperçut que les filles d'Atlas, les
Hespérides, à qui elle avait
confié la garde de l'arbre, volaient les pommes, elle plaça Ladon, le
dragon vigilant, autour du pommier pour en interdire l'approche.
Bien que les pommes fussent la propriété d'Héra,
Atlas
en était
fier, comme un jardinier de ses beaux fruits, et Thémis l'avait
averti qu'un jour son arbre serait dépouillé de son or par un fils de
Zeus. Atlas,
qui n'avait pas encore été condamné à porter le globe terrestre
sur ses épaules,
construisit des murs solides autour du jardin et chassa tous les
étrangers de
son territoire. Héraclès, ignorant dans quel endroit se trouvait
le jardin des Hespérides,
traversa l'Illyrie jusqu'au fleuve Pô, patrie du dieu marin,
Nérée, l'Oracle.
Quand enfin Héraclès arriva sur le Pô, les nymphes du fleuve,
filles de Zeus
et de Thémis, le conduisirent à Nérée qui était endormi.
Héraclès se saisit
du vénérable dieu de la mer et, s'agrippant à lui malgré ses
multiples métamorphoses,
le contraignit à lui dévoiler le moyen de prendre les pommes
d'or.
Nérée avait conseillé à Héraclès de ne pas cueillir lui-même les pommes mais
d'utiliser Atlas pour le faire à sa place et de le soulager pendant ce temps
de son formidable fardeau, donc, en arrivant au jardin des Hespérides,
il demanda à Atlas de lui rendre ce petit service.
Atlas soutenant le monde
© Boris VALLEJO
Atlas aurait fait vraiment n'importe quoi en échange d'une heure de répit,
mais il redoutait Ladon qu'Héraclès alors tua d'une flèche tirée par-dessus
le mur du jardin. Héraclès s'était donc baissé pour recevoir le poids du globe
terrestre sur les épaules et Atlas était parti; il s'en revenait à présent avec
trois pommes cueillies par ses filles. Il trouvait que la liberté était bien
agréable et il décida de porter lui-même les pommes à Eurysthée,
à condition qu'Héraclès porte la terre pendant quelques
mois encore. Héraclès fit semblant d'accepter, mais comme il avait été prévenu
par Nérée de n'accepter aucune proposition de ce genre, il pria Atlas de reprendre
le globe pendant un instant, afin de mettre un coussinet sur sa tête. Atlas,
facilement trompé, posa les pommes sur le sol et reprit son fardeau, Héraclès
alors les ramassa et s'éloigna en lui faisant un petit salut ironique.
A quelques mois de là, Héraclès apporta les pommes à Eurysthée qui les lui
rendit; il les offrit alors à Athéna qui les restitua aux nymphes, car il était
interdit que la propriété d'Héra leur fût enlevée.
Héraclès, ayant soif, après
avoir accompli ce labeur frappa la terre de son pied et fit jaillir un ruisseau
qui, par la suite, devait sauver la vie des Argonautes lorsqu'ils furent pris
par la soif dans le désert de Libye. Entre-temps Héra, pleurant Ladon, le plaça
au milieu des étoiles où il figure la
constellation du Dragon.
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Le onzième des Travaux consistait à rapporter les fruits d'or d'un
pommier, cadeau de la Gaia à Héra. Elle l'avait planté dans son jardin divin
qui se trouvait sur les pentes du mont Atlas, là où les chevaux du char du Soleil,
hors d'haleine achèvent leur randonnée et où les troupeaux d'Atlas (mille moutons
et mille vaches) se promenaient paisiblement dans les pâturages. Lorsqu'un jour
Héra s'aperçut que les filles d'Atlas, les
Hespérides, à qui elle avait
confié la garde de l'arbre, volaient les pommes, elle plaça Ladon, le
dragon vigilant, autour du pommier pour en interdire l'approche.
Bien que les pommes fussent la propriété d'Héra,
Atlas
en était
fier, comme un jardinier de ses beaux fruits, et Thémis l'avait
averti qu'un jour son arbre serait dépouillé de son or par un fils de
Zeus. Atlas,
qui n'avait pas encore été condamné à porter le globe terrestre
sur ses épaules,
construisit des murs solides autour du jardin et chassa tous les
étrangers de
son territoire. Héraclès, ignorant dans quel endroit se trouvait
le jardin des Hespérides,
traversa l'Illyrie jusqu'au fleuve Pô, patrie du dieu marin,
Nérée, l'Oracle.
Quand enfin Héraclès arriva sur le Pô, les nymphes du fleuve,
filles de Zeus
et de Thémis, le conduisirent à Nérée qui était endormi.
Héraclès se saisit
du vénérable dieu de la mer et, s'agrippant à lui malgré ses
multiples métamorphoses,
le contraignit à lui dévoiler le moyen de prendre les pommes
d'or.
Nérée avait conseillé à Héraclès de ne pas cueillir lui-même les pommes mais
d'utiliser Atlas pour le faire à sa place et de le soulager pendant ce temps
de son formidable fardeau, donc, en arrivant au jardin des Hespérides,
il demanda à Atlas de lui rendre ce petit service.
Atlas soutenant le monde
© Boris VALLEJO
Atlas aurait fait vraiment n'importe quoi en échange d'une heure de répit,
mais il redoutait Ladon qu'Héraclès alors tua d'une flèche tirée par-dessus
le mur du jardin. Héraclès s'était donc baissé pour recevoir le poids du globe
terrestre sur les épaules et Atlas était parti; il s'en revenait à présent avec
trois pommes cueillies par ses filles. Il trouvait que la liberté était bien
agréable et il décida de porter lui-même les pommes à Eurysthée,
à condition qu'Héraclès porte la terre pendant quelques
mois encore. Héraclès fit semblant d'accepter, mais comme il avait été prévenu
par Nérée de n'accepter aucune proposition de ce genre, il pria Atlas de reprendre
le globe pendant un instant, afin de mettre un coussinet sur sa tête. Atlas,
facilement trompé, posa les pommes sur le sol et reprit son fardeau, Héraclès
alors les ramassa et s'éloigna en lui faisant un petit salut ironique.
A quelques mois de là, Héraclès apporta les pommes à Eurysthée qui les lui
rendit; il les offrit alors à Athéna qui les restitua aux nymphes, car il était
interdit que la propriété d'Héra leur fût enlevée.
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Le 11ème des travaux d'Hercule (
Héraclès) consistait à ramener les pommes d'or d'un pommier qu'Héra (
Junon) avait planté dans son jardin de l'Atlas. Cadeau de sa fille Gaïa il était gardé par Atlas et Ladon son dragon.
Mais un jour Héra s'aperçoit que les filles d'Atlas, les Hespérides volent ses pommes d'or.
Hercule a toujours usé de subterfuges, il trompe Atlas qui en était le gardien auquel il fait lui-même cueillir les pommes, après avoir tué Ladon, et ramasse les pommes posées à terre.
Héra inconsolable de la mort de Ladon le transforme en Constellation du Dragon .
J'ai choisi de vous présenter la sculpture d'Hercule, de dos, avec les pommes dans sa main.
Le onzième des Travaux consistait à rapporter les fruits d'or d'un
pommier, cadeau de la Gaia à Héra. Elle l'avait planté dans son jardin divin
qui se trouvait sur les pentes du mont Atlas, là où les chevaux du char du Soleil,
hors d'haleine achèvent leur randonnée et où les troupeaux d'Atlas (mille moutons
et mille vaches) se promenaient paisiblement dans les pâturages. Lorsqu'un jour
Héra s'aperçut que les filles d'Atlas, les
Hespérides, à qui elle avait
confié la garde de l'arbre, volaient les pommes, elle plaça Ladon, le
dragon vigilant, autour du pommier pour en interdire l'approche.
Bien que les pommes fussent la propriété d'Héra,
Atlas
en était
fier, comme un jardinier de ses beaux fruits, et Thémis l'avait
averti qu'un jour son arbre serait dépouillé de son or par un fils de
Zeus. Atlas,
qui n'avait pas encore été condamné à porter le globe terrestre
sur ses épaules,
construisit des murs solides autour du jardin et chassa tous les
étrangers de
son territoire. Héraclès, ignorant dans quel endroit se trouvait
le jardin des Hespérides,
traversa l'Illyrie jusqu'au fleuve Pô, patrie du dieu marin,
Nérée, l'Oracle.
Quand enfin Héraclès arriva sur le Pô, les nymphes du fleuve,
filles de Zeus
et de Thémis, le conduisirent à Nérée qui était endormi.
Héraclès se saisit
du vénérable dieu de la mer et, s'agrippant à lui malgré ses
multiples métamorphoses,
le contraignit à lui dévoiler le moyen de prendre les pommes
d'or.
Nérée avait conseillé à Héraclès de ne pas cueillir lui-même les pommes mais
d'utiliser Atlas pour le faire à sa place et de le soulager pendant ce temps
de son formidable fardeau, donc, en arrivant au jardin des Hespérides,
il demanda à Atlas de lui rendre ce petit service.
Atlas soutenant le monde
© Boris VALLEJO
Atlas aurait fait vraiment n'importe quoi en échange d'une heure de répit,
mais il redoutait Ladon qu'Héraclès alors tua d'une flèche tirée par-dessus
le mur du jardin. Héraclès s'était donc baissé pour recevoir le poids du globe
terrestre sur les épaules et Atlas était parti; il s'en revenait à présent avec
trois pommes cueillies par ses filles. Il trouvait que la liberté était bien
agréable et il décida de porter lui-même les pommes à Eurysthée,
à condition qu'Héraclès porte la terre pendant quelques
mois encore. Héraclès fit semblant d'accepter, mais comme il avait été prévenu
par Nérée de n'accepter aucune proposition de ce genre, il pria Atlas de reprendre
le globe pendant un instant, afin de mettre un coussinet sur sa tête. Atlas,
facilement trompé, posa les pommes sur le sol et reprit son fardeau, Héraclès
alors les ramassa et s'éloigna en lui faisant un petit salut ironique.
A quelques mois de là, Héraclès apporta les pommes à Eurysthée qui les lui
rendit; il les offrit alors à Athéna qui les restitua aux nymphes, car il était
interdit que la propriété d'Héra leur fût enlevée.
- See more at: http://mythologica.fr/grec/heraclet11.htm#sthash.Q7904bdk.dpuf