vendredi 5 octobre 2018

à savourer

                  sans modération ... à croquer :




 à boire ou à écouter ,,, ?


    jouer avec sans y toucher








     on a furieusement envie de passer les doigts sur cette peau de pêche



            aussi bien que sur ce grain de peau, digne d'Ingres


           https://www.youtube.com/watch?v=6KiaCoicodo

jeudi 4 octobre 2018

Voyage en galerie

                 Même si les bâteaux sont un peu rouillés :


       http://www.galeriealaindaudet.fr/stephane-joannes-4-2/stephane-joannes-2/


https://www.artsper.com/fr/artistes-contemporains/espagne/18544/jose-luis-cena

Son travail n'évoque pas directement le sens, mais suggère plutôt la réalité

 cachée dans l'émotion, une chance, un récit. Son art fonctionne comme une 

matrice du sentiment mélancolique parmi le public qui, bien qu'il n'ait pas vécu 

les événements décrits, sera invité à ressentir des moments qui appartiennent

à son passé.


 désormais présent dans la collection du MEAM ( Musée Européen d'Art 

                                                                 Contemporain de Barcelone)


                      tous les moyens de locomotion sont bons





                                     Autre toile de Roux-Fontaine



                      http://www.rouxfontaine.com/roux-fontaine-peinture-2011.php

          la caravane d'Archer s'est arrêtée dans un paysage flamboyant

 Il est passé par la National Gallery de Londres et le Wandsworth Museum de

 Londres aussi.

                     http://nicholasarcher.com/current-work/

          Aucun voilier ne se profile au large du cap d' Hilary Dymond 

 on admire toujours la luminosité de ses paysages et la précision de ses rochers





le cours des fleuves aussi : composition où s'oppose le flou du lointain et les 

               flots plus précis


    Je termine ce tour d'horizon par le bateau échoué de José Luis Ceña Ruiz  

                 où l'on retrouve son "vert" de prédilection





mardi 2 octobre 2018

chez Alain Daudet

Week-end riche en découvertes et traditions, dont la sortie forêt dont nous 

parlerons plus tard ; j'ai pu féliciter ce galériste qui accroche toujours des 

oeuvres de portée internationle. Revu Qincoces, que je vous avais déjà 

présenté au printemps, rappellez-vous sa spécialité, ce sont les paysages

 urbains : les musées ne s'y sont pas trompés, Bilbao,  (normal il en est

 natif) Madrid, Chicago et de nombreuses collections privées.



 Emballée !! par Roux-Fontaine présenté en 2000 à la Biennale de Turin, dans les

  musées  de Paul Dini et l'AIB Fondation en Irlande, objet d'une rétrospective à

 Gironne en Espagne et qui expose notamment aux Etats-Unis. Il est nomade,

 poète, photographe, vidéaste et peintre.....


Profondément admirative de Hilary Dymond née en Grande-Bretagne : elle

expose un peu partout notamment au Palais Bricherasio à Turin


 la photo ne rend pas la luminosité  de cette oeuvre, l'opposition entre le

brouillard, les sommets enneigés et la brutalité de la roche, c'est magnifique !!


Encore un autre pour ce soir, en effet une certaine fatigue de ma part avec un

 lever à 5 heures et quatre heures de marche en forêt-montagne.

                      Quelques photos d'ambiance 



                                            Coderch-Malavia


  et j'adore surtout celle-là

                  on se prête au jeu,  ne plus être simplement "visionneur" mais 

                                                                             acteur

           en remontant du sous-sol, volets ouverts sur les arrières de la galerie



 

vendredi 28 septembre 2018

Michel Battle

 Dans la thématique "Guerres culturelles" "Kanaky Independance " 1988







"Guerre patrimoine de

l'humanité"

2010























 Dans celle des "Monstres ordinaires"


 Michel Battle nous dit  :
"
Fragmenter l'image puis la recomposer de manière aléatoire ou choisie.

Multiplier les points de vue, ouvrir de nouvelles trajectoires.

L'image est ici un visage, décomposé puis recomposé en découpes

 géométriques qui isolent des détails du "travail" de la peinture ou du dessin.

Ces nouvelles images coupées de leur ensemble, décalées paraissent avoir une

 certaine autonomie ; c'est le regard qui le décide et chaque fragment devient

 par sa différence aux autres, un monde en soi.

Ce qui les relient est le dessin premier, l'idée première, comme si la 

composition avait précédé ce battage de cartes.

On pourrait dire qu'il s'agit là d'une sorte de subterfuge que cette combinatoire

 imprévisible et volontaire à la fois.
 
A partir de cette nouvelle répartition physique de l'image fragmentée, une

 dynamique autre s'installe et s'ouvre un jeu entre les formes du monde visible

 dessinées et ce qui pourrait être les formes d'un monde onirique apparu.

 Ces visages que je nomme"Monstres ordinaires" se trouvent alors planifiés

 dans leur nouvelle structure où la découpe et la reconstruction se meuvent 

dans un va et viens au rythme abstraction/ figuration, qui, tel une lumière

 clignotante, annonce l'inattendu.

Dans ce remaniement, la forme extérieure du visage reste présente, elle est

 comme une porte dont le mécanisme de la serrure s'ouvrirait à la lecture

 d'une nouvelle configuration graphique et plastique de ces fractions de dessin".










Dans la série "Musica Plastica" Nous savons que Michel Battle est aussi musicien


                                      "la Guitare brûlée" peinture et guitare Steinberg : 2000















 c'est vraiment avoir la

 musique "dans les tripes"

















ou "au coeur"




































" Hommage à l'ami Vince Taylor" 1991

                                  https://www.youtube.com/watch?v=7vvLh34vqNE






























































Aurai-je l'occasion de

 revenir sur Michel Battle

  ....??

je vais tracer ma route

dans l'art et la nature.

 Il y a encore beaucoup à

voir !!! Sûrement !!

              https://www.dailymotion.com/video/xdjb10

jeudi 27 septembre 2018

Retour à Laréole : Michel Batlle

 Comme il se définit lui-même c'est un "artiste de plein vent", je vous l'avais 

déjà présenté au début de l'été pour ses sculptures en extérieur  : il me fallait 

y revenir.
 
 Il ne faudrait pas avoir une attitude réductrice, cet artiste catalan, dont on ne

 doit pas prononcer le nom à l'anglaise mais à la catalane est connu de Kiev 

jusqu'au  Japon, les USA, la Chine et la Corée du Sud. On le trouve aussi en

 Afrique du l'ouest. Ses sculptures de métal  qu'il travaille dans son atelier

 "le Cratère" sont des créations datant des années 2010, mais dit-il

" l'art est avant tout une expérience et un questionnement sur la vie mais aussi 

un engagement essentiel pour le respect des différences et des cultures"

 L"écrin"  de Laréole convient parfaitement à la mise en valeur de ses créations.

                       Revoilà "l'Homme-cerf", l'été est passé par là....

 d'autres aussi meublent la cour du château, non pas "boisés" mais cornus















 Sa sensibilité s'exerce

aussi dans la musique,

 il aime les performances-

peinture en public


















Dans les années cinquante il travaille dans l'atelier du peintre Granados-Llimona

 à Olot.







Cette exposition est conçue comme une anti-rétrospective, elle célèbre l'oeuvre

 foisonnante et en mouvement de cet artiste.

Les périodes, les styles et les disciplines se croisent, entrent en dialogue et 

s'interrogent  dans  quatre thématiques : les guerres culturelles, les visages,

 l'anatomie et la "Musica plastica".























 Le "visage" est la

constante identitaire et

l'emblème

"psychophysiographique"

 de son fil constructeur,

jamais démodé, toujours

aux aguets








à suivre