mercredi 24 janvier 2018

Eduardo Arroyo



 which is both an allegory of the current situation in Spain and a parodic tribute to Ignacio Zuloaga's monumental composition "The Victim of the Fiesta" (1910).
The two paintings, original and pastiche, are shown  together for the time.



 https://www.museobilbao.com/in/exposiciones/la-victima-de-la-fiesta-105



Je n'ai pas l'intention de vous montrer la totalité de cette exposition mais comme à l'accoutumée, mes préférences 






                       https://www.youtube.com/watch?v=zb3dJ8kvpIE


mardi 23 janvier 2018

Diversion : l'Azkuna Zentroa

 Mais toujours de l'art !! pour changer un peu et reprendre le fil..






 Azkuna Zentroa, situé en plein centre de la capitale de la Biscaye, est l’un des édifices les plus représentatifs de la ville.




 L’ancien entrepôt de vin, conçu en 1909 par Ricardo Bastida, est devenu un spectaculaire centre civique  dédié aux loisirs et à la culture, grâce au travail du célèbre architecte Philippe Starck.


 Azkuna Zentroa est un espace, pluridisciplinaire, plongé dans une semi-obscurité, capable d’accueillir la connaissance, les représentations culturelles les plus diverses, l’activité physique et le divertissement. 

Parmi les éléments qui attirent le plus l’attention à l’intérieur, on distingue les 43 colonnes imaginées par Starck et élaborées sous la supervision du scénographe italien Lorenzo Baraldi. (quelques unes parmi mes préférées)





Le complexe Azkuna Zentroa compte une médiathèque, un centre sportif, une piscine, une salle d’expositions, un auditorium, des salles de cinéma, une salle polyvalente, des restaurants, des cafétérias et une boutique.
 ll est aussi le théatre  de diverses manifestations, comme le festival littéraire Gutun Zuria, mais aussi un sympathique bar au dernier étage .... encore faut-il trouver le bon ascenseur.




Donc pour vous mettre dans l'ambiance...












































http://www.sudouest.fr/2010/06/28/bilbao-a-adopte-starck-sans-hesiter-127379-4803.php































                                     vous avez forcément deviné que nous étions quatre


          Nous ne sommes pas repartis en Rolls mais avec le "72" : il pleuvait toujours autant


                                 et demain on revient au Musée des Beaux Arts

vendredi 19 janvier 2018

Picasso, Bacon, Delaunay

Il serait dommage de bâcler la suite des salles modernes de ce musée des Beaux-Arts, même si certains d'entre vous aimeraient en sortir........ mais je vous assure que nous en sortirons pour des paysages à couper le souffle.

Je m'exporte encore... un manque de temps criant ce matin !!!

 quelques belles mises à jour sur l'article précédent, à voir
























Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire de la peinture ». 



Les artistes Rafael Solbes, Juan Toledo et Manolo Valdés créent à Valence, en 1965, le groupe Equipo Crónica et présentent pour la première fois, la même année, un ensemble d'œuvres collectives au XVIe Salon de la jeune peinture à Paris. Juan Toledo quitte rapidement le groupe, qui ne sera plus constitué que par Manolo Valdés et Rafael Solbes jusqu'en 1981, date de la mort de ce dernier. Fondé sur la base d'un réalisme pictural dialectique, Equipo Crónica entreprend une critique des images de la culture contemporaine. Usant d'un langage proche de celui des affiches de propagande, le groupe provoque la rencontre des arts majeurs (chefs-d'œuvre de l'art) et mineurs (B.D., imagerie populaire). Il dresse parallèlement le procès du franquisme et s'inscrit, comme le peintre espagnol Arroyo, à l'intérieur de la contestation de la dictature. Le traitement que Solbes et Valdés font subir aux images évoque les peintures de quelques-uns des représentants français de la Figuration narrative, tels Aillaud et Recalcati, qu'ils rencontrent à Paris en 1965.

Caractérisée en 1965-66 par les procédés de déformation de l'image et de détournement d'œuvres, l'œuvre d'Equipo Crónica est constituée, à partir de 1967-68, par la suite chronologique de séries de peintures : Récupération en 1968-69, Guernica,1969, Autopsie d'un atelier, 1970, exploitent les grandes œuvres de la peinture espagnole de Velázquez et Goya à Picasso. Police et culture (collège d'Architecture de Barcelone, 1971), Série noire (1972) portent l'analyse sur les questions de la culture et de sa répression. Dès 1973, le groupe s'oriente davantage vers la critique de la pratique sociale de la peinture : l'Affiche (1973), Ateliers et peintres (1974), la Subversion des signes (1974-1975), le Mur (1975-1976). Les peintures les plus récentes d'Equipo Crónica sont marquées par le retour d'un classicisme pour les Paysages urbains (1978-1979), une appropriation ludique et humoristique de l'art pour Chronique de transition et voyages (1981).

Equipo Crónica a participé activement, entre 1967 et 1976, à des expositions collectives à caractère social et politique telles que " le Monde en question " en France, " Art et politique " en R.F.A., " Espagne, avant-garde artistique et réalité sociale 1936-1976 " en Italie et en Espagne. Les œuvres du groupe Equipo Crónica figurent dans de nombreuses collections privées européennes et dans les collections publiques du Moderna Museet à Stockholm, de l'IVAM-Centre Julio Gonzalez à Valence, de la fondation March à Madrid, des musées de Grenoble, de Marseille et de Paris (M.N.A.M. et Fonds national d'art contemporain). 

Je vous montrerai l'exposition d'Arroyo, la semaine prochaine

jeudi 18 janvier 2018

Section Basque et Modernes

Je quitte à regret les peintures flamandes mais j'y reviendrai plus tard, pour vous

"faire changer d'air".  Passé le superbe escalier de marbre et  de tôle peinte, les

espaces sont immenses ; voici quelques oeuvres  d'artistes Basques.











http://www.bilketa.eus/fr/collections/notre-selection/429-les-affiches-des-fetes-basques-d-antoine-d-abbadie





 https://www.youtube.com/watch?v=-AI98e0PuME











Aurelio Arteta 

 http://www.eitb.eus/fr/infos/culture/detail/1232382/le-triptyque-guerre-aurelio-arteta-biarritz-bilbao/










Puissantes sculptures  des marins basques, reflets de la rudesse de la pêche à la baleine dans le Golfe de Gascogne suivies plus tard jusqu'à Terre- Neuve.








http://parkscanadahistory.com/series/saah/northatlanticwhaling-fr.pdf



 http://www.euskomedia.org/PDFAnlt/vasconia/vas02/02007024.pdf


Pour mes lointains lecteurs, les basques sont autant marins que montagnards  et le Pays Basque suivant le versant des Pyrénées peut être basque français ou basque espagnol.
La langue est la même et les traditions aussi fortes de chaque côté de la frontière

Nous avons les mêmes caractéristiques à l'autre bout des Pyrénées, la Catalogne française et la Catalogne espagnole, avec aussi une langue spécifique.

(suite à vos lectures sur les liens je vous emménerai bientôt à Leikeitio)

http://dauphinouessant.blogspot.fr/2016/09/le-golfe-de-gascogne.htm






 J'ai beaucoup aimé cet "Aveugle de Calatanazor"... peut-être parce que ce fut une étape très réussie d'un voyage précédent

 Comment expliquer qu'une oeuvre ait pour vous une présence que n'aura pas un autre tableau d'un maître plus célèbre

                                 Gustavo de Maetzu 1945


et pour souligner encore la grande maîtrise du Sculpteur Quintin de Torre, cette descente de croix  1926  Bois polychrome.