Remis au goût du jour à la faveur de deux expositions à Nantes et à Montauban
cette tendance fut, à l'époque, décriée d'une part et favorablement accueillie
d'autre part. C'est effectivement avec ce "Combat de coqs" de 1847 qu'apparaît
une une autre modernité, celle des néo-grecs avec pour chef de file Jean Léon
Gérôme.
https://www.dailymotion.com/video/x15yzon
Musée d'Orsay
Ce courant pictural trouvait son équivalent dans la littérature, Théophile Gautier
fut d'ailleurs un grand admirateur de cette toile.
https://mediterranees.net/mythes/gyges/gautier/index.html
Léonn Burthe nous offre une "Sapho jouant de la lyre" en 1849 avant de
disparaître à l'âge de 37 ans Chef d'oeuvre absolu conservé au Musée de
Carcassonne.
Dominique Papety peint à Marseille en 1841 "Femmes grecques à la fontaine"
au Musée du Louvre.
et son évanescente Ophélie
Musée de Ste Croix Poitiers
Ingres alors directeur de l'Académie de France à Rome, se félicite de cet attrait
"pour la Grèce : il peindra lui-même "Antiochus et Stratonice". On la verra au
Musée de Chantilly mais aussi dans une autre version au musée Ingres de
Montauban
http://www.arles-antique.cg13.fr/mdaa_cg13/popup_expos/ingres/_docs/stratonice.pdf
Jean Broc est précurseur de ce mouvement avec, en 1801, sa 'Mort de Hyacinthe"
aussi à PoitiersIl faut aller au Kunsthalle de Hambourg pour la toile de Jean Léon Gérôme
"Phryne révélée devant l'aéropage "
à suivre
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