Après son premier séjour au Japon en 1966, Miro se déclare profondément en accord avec l'âme japonaise.
Certains titres évoquent la poétique brièveté des haïkus et les peintures très sobres en traduisent le sens à l'aide d'un minimum d'éléments visuels.
Miro synthétise au maximum et reprend le problème de la profondeur
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