Je vois que ce jeune poète a saisi l'atmosphère des lieux et bien traduit les sentiments de Josep Pla!
Si nous avions partagé les émotions de la tempétuosité, je dirai plus, de l'agression des éléments, cet hiver, j'aurais aimé partager aussi, avec toi, l'alternance de quiètude du jardin avec la tourmente de la veille qui tordait la végétation, soulevait la mer mais toujours sous un ciel d'un bleu sans nuages.
A ce point fascinée,
j'en ai oublié de relever les noms de toutes ces épines !!!!
Les jardiniers ont su jouer avec des couleurs de base
mais je connaissais le nom commun de ce tulipier
Nous n'en avons pas fini avec ce jardin......
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