vendredi 3 juin 2022

Co- Cathédrale St Jean

 Son titre explique tout, sa "consoeur" est à Mdina, initialement capitale de 

Malte fondée par les Phéniciens, occupée successivement  par les Grecs , puis les 

Romains et les Arabes vers 870 (al-Medina) Nous y reviendrons. et c'est là, la

 cathédrale St Paul.

 La cathédrale St Jean a été construite en 4 ans de 1573 à 1577 sur les plans de 

l'architecte de l'ordre de Malte, Girolamo Cassar  et les travaux financés par le 

grand maître Jean de La Cassière .

 

 Cette voûte en berceau nécessita le travail  de l'artiste calabrais Mattia Preti

 pendant 6 ans, peignant à l'huile directement sur les ébauches, la vie de St Jean

Baptiste.

 Cette cathédrale est éblouissante, surprenante,  un livre d'histoire en marbres

 polychromes, entièrement pavée des 374 pierres tombales des chevaliers les plus

 hauts placés ; les chapelles  portent les noms des chevaliers regroupés par leur

 langue et non leur pays d'appartenance. Vous visitez par conséquent la chapelle

 de la langue d'Allemagne ou d'Italie ou de France, etc il y en a 9.

 Ces pierres tombales sont toutes aussi belles les unes que les autres arborant les 

blasons  de ceux qui y reposent.

 








Dans les chapelles l'on peut 

aussi admirer les

 cénotaphes de certains

personnages, comme par 

exemple dans la chapelle

de France, celui de Louis-

Charles d'Orléans, comte de

 Beaujolais, frère du roi 

Louis-Philippe. Emprisonné 

à Marseille au Fort St Jean

pendant la Révolution 

Française, il y contracta la 

tuberculose . A sa

 libération 

il fut envoyé à Malte où il 

mourut en 1809.

 Son gisant en marbre blanc, est très expressif :


 Croix de Malte et fleurs de Lys, parsèment les murs

 


  Dans la chapelle d'Aragon, le buste en bronze de Nicolas Cottoner repose sur un

 autel de marbre soutenu par les statues de deux esclaves l'Asie et l'Afrique .



Dans la Chapelle de Langue de Castille, Lèon et Portugal, en marbre vert le 

monument funéraire de Manoel de Vilhena (1722-1736)



Et le clou de cette 

cathédrale est le fameux

 tableau du Caravage 

réfugié à Malte 

après avoir été l'auteur

d'un meurtre. Il y séjourne

de 1607  à 1608 et peint

  "la Décollation de Saint 

Jean Baptiste" en

 remerciement  de son

 entrée dans

 l'ordre de Saint Jean.  Ce 

chef - d'oeuvre du clair 

obscur  ne s'approche pas, 

 il trône toujours à sa place 

d'origine, dans l'oratoire.



           https://www.youtube.com/watch?v=Gp_P7MuBSTE

 A l'extérieur, le monument commémoratif du Grand siège de 1565





jeudi 2 juin 2022

Les fleurons de La Valette

 C'est l'architecte militaire de Pie IV qui se lance dans la construction de ses

fortifications entre 1566 et 1570, un chantier pharaonique destiné à parer à toute

 invasion , qui n'auront pas lieu puisque les Ottomans sont défaits à Lépante.

 Palais,  églises voient aussi le jour notamment le palais du grand Maître  sous le

 règne de Jean de La Cassière (1572 - 1581) et ce fut une grande déception de ne

 pouvoir le visiter, fermé pour deux ans de travaux. En m'introduisant par erreur 

par l'entrée  donnant sur les bureaux de la Présidence et gentiment refoulée, j'ai

pu  toutefois prendre en photo le Neptune en bronze attribué à Jean de Bologne 

(1529-1608) trônant devant une fontaine qui servait d'abreuvoir aux écuries.

  Et le blason qui le surmonte.


A l'angle extérieur du palais,  soutenant un balcon un drôle de personnage

 grimace.

Pour se consoler il y a le musée de l'armurerie !...

Avant de poursuivre mon chemin,  un petit café pour reprendre des forces au

 pied de la reine Victoria au Caffe Cordina, place de la République.


https://www.youtube.com/watch?v=0Saol1AzTF8


mercredi 1 juin 2022

Malte

  Pourquoi Malte ? La réponse est simple ! ! quand on aime l'histoire, l'art et la 

nature, cette île en Méditerranée a offert tous les avantages à ceux qui l'ont

 traversée,  ceux qui ont fait de ses rivages un refuge ou bien ceux qui ont voulu

 s'en emparer; nous parlerons des résidents de ses quelques premiers siècles et du

 mille-feuilles des civilisations qui s'y sont succèdèes, et pour ma part, l'aventure

des Chevaliers de l'ordre de St Jean de Jérusalem, était mon sujet de prédilection.

 Comme à tout retour de voyage, il me faut un temps d'assimilation et laisser

venir au souvenir les images marquantes, les enthousiasmes, les réflexions sur les 

temps marquants de cette île.

 Il est certain que l'aborder en bateau peut replonger dans l'émerveillement de voir

 se découper ses côtes et son architecture, toutes blanches de son socle

 géologique, la globigérine. 

Nous irons ensemble à La  Valette  qui porte le nom de son constructeur,  Jean 

Parisot de La Valette, bien de chez nous, puisqu'il est né dans le Tarn et pour 

compléter les assimilations, on compare cette ville à notre Carcassonne. 

 Ce grand maître de l'ordre voulait mettre à l'abri  ses chevaliers qui habitaient la 

ville voisine de Birgu ravagée par les Ottomans. J'ai parcouru les charmantes

 ruelles de cette cité à la recherche de leurs "auberges"  maisons de résidence , 

c'est ainsi qu'elles s'appellent et longuement arpenté leurs forts, le Fort saint 

Telme à La Vallette et le Fort St Ange à Birgu. 

Je n'y étais ni pour la plongée ni pour faire la fête.

Je n'ai pas non plus pris le ferry qui amène sur l'île toute voisine, Gozo.  

 Assiégée quand même  en 1565  par les Ottomans qui se sont révélés

très cruels envers les derniers défenseurs du fort Saint Elme et pas pour

 longtemps...  la victoire de Lépante, sera une belle revanche ! Charles Quint fera

 par conséquent don de Malte aux chevaliers de St Jean.

https://www.herodote.net/7_octobre_1571-evenement-15711007.php

https://institut-iliade.com/le-grand-siege-de-malte-1565-quand-la-chretiente-repousse-le-turc/

      Vue sur Birgu (Vittoriosa) et reprise de La Vallette  sur les Turcs

 Il vaut mieux savoir parler Anglais !! la défaite de Napoléon a permis à  ceux-ci

 de prendre à leur tour possession de Malte ! on s'adapte assez vite à la conduite à

 gauche : les premiers ronds-points pris à l'envers par conséquent, méritent 

quand même un peu d'adaptation.

 

Fortifications de La Vallette, et cinéma en plein air.



mardi 26 avril 2022

Les oiseaux

 Cette courte évocation des travaux  représentatifs de l'avifaune,  au moment où

 cette population enchante nos levers de soleil, ne serait pas complète si je 

n'évoquais pas les travaux de  John Wolf. Celui-ci devient aussi ornithologue grâce 

à l'observation et déjà l'esquisse des oiseaux qu'il pouvait rencontrer lors de ses

 promenades champêtres. Du petit atelier de Coblence à l'atelier d'Eduard Rupell à

 Francfort, il ne va pas cesser de progresser à tel point que Johann Conrad 

Susemihl lui demande de collaborer à son ouvrage "Vögel Europas" (1839-1852) 

Il avait une prédilection pour les rapaces mais ne s'en tint pas là : à Anvers en

1847 il peint toutes sortes de sujets mais peu après, regagne l'Angleterre où il va

 faire la connaissance de  Gould.

Admirez ci-dessous la variété de ses compositions:

                  https://www.meisterdrucke.fr/artiste/Joseph-Wolf.html

 Travail conjoint de Gould et Wolf ; Faucon

 Collaboration si fructueuse qu'ils entreprennent en 1856 un voyage en Norvège.

Ce qui ne l'empêchera pas d'être assez critique sur son tempérament ...

  Joseph Wolf travaillera aussi avec David William Mitchell pour illustrer le

"Genera of Birds" de George Robert Gray


 Dans "the Birds of Asia "(1850-1853), l'un des derniers ouvrages de Gould, Wolf 

réalise 22 dessins à l'aquarelle,  la plupart des oiseaux venant d'Inde. 

 


 Ces quelques lignes, je l'espère, vous donneront envie,  à défaut peut-être de les

 dessiner, ou de les photographier, en tout cas, de participer à la protection  des

 oiseaux.

 John Gould choisit comme épitaphe, en 1881 

       John Gould : The Bird Man 

  Partez en voyage avec David Livingstone ou Alfred Russel Wallace ainsi qu'avec 

Henri Walter Bates.

et plongez dans "The Birds of Asia" 

tps://www.google.fr/books/edition/Birds_of_South_East_Asia/Ew50CQAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=birds+of+asia&printsec=frontcover

 

mercredi 13 avril 2022

Ornithologie et taxidermie

  Voici l'histoire de grands illustrateurs d'ornithologie, John et Elizabeth Gould, qui

voueront leur vie aux oiseaux..

John Gould voit le jour dans le Dorsetshire en 1804, fils d'un jardinier aux jardins

 royaux de Windsor.

A ses côtés, c'est ainsi qu'il acquiert de solides connaissances en botanique.

 Particulièrement attiré par les oiseaux qu'il observe quotidiennement, c'est en

 capturant deux pies qu'il va naturaliser, que débute une carrière fructueuse.

En 1827, il intègre à Londres, la  Société Zoologique où il exerce ses talents qui le 

passionnent, mais c'est sa rencontre avec celle qui deviendra son épouse qui va

 déterminer cette vocation : Elizabeth Coxen  est artiste peintre, elle va dessiner 

les oiseaux que Gould a naturalisé qui seront par la suite diffusé en

 planches imprimées, grâce à la collaboration  en autres d'Edward Lear de 1812 à 

1888 . La série des "Birds of Himalaya" ne provient pas d'un voyage dans ces

 montagnes mais d'un achat à un voyageur qui les en avait rapportés.

Collaboration aussi avec le plus éminent ornithologue de cette Société 

londonienne Nicholas Aylward Vigors qui va lui permettre de classifier et de 

nommer  ces nouveaux spécimens. Ce dernier nommera  un souïmanga 

"Nectarinia gouldiae" en honneur d' Elizabeth Gould.

 Par contre c'est bien d'un voyage en Australie que proviennent les planches de

ce  nouveau recueil. Avant que Lear ne se retire à Rome, il apprit à Elizabeth 

comment  reporter ses peintures sur pierre.

 Les têtes couronnées de l'époque ne manquèrent pas de souscrire à ces nouveaux

ouvrages : les "Birds of Europe" puis A Monograoh of the Ramphastidae

 (1833-1835) et une autre de la famille des trogons de 36 à38.

 

 Ara Macao. John Lear

 Gould avait dès lors acquis de solides  connaissances scientifiques.

Charles Darwin embarque sur le Beagle, suivant la route de Magellan sur la côte

 ouest de l'Amérique du Sud  et les îles du Pacifique sud. Que ne va-t-il pas 

rapporter !!! que  les Gould vont diffuser !! et en faire une fortune assez 

considérable qui va justement leur permettre de se lancer dans un grand voyage 

en Australie, où ils sont accueillis par deux frères d'Elizabeth. Ils laissaient deux 

de leurs enfants et partaient avec leur fils ainé de 8 ans (1838) . Quatre mois de 

traversée  avec un jeune collaborateur qu'ils engagent, John Gilbert, qui trouvera

 une fin tragique dans un voyage ultérieur. Ces quatre mois de navigation leur

 permettent l'observation et la classification des oiseaux de mer. C'est  d'abord en

 Tasmanie que la famille s'installe où Elizabeth donne naissance à  son quatrième 

enfant, Franklin  en 1839. Elle menait de front une carrière artistique

  et une vie familiale bien remplie pendant que son mari arpentait, dès leur 

installation dans le New-South-Wales, toutes les contrées les plus lointaines dont il 

ramena  deux cent nouvelles espèces et une centaine de sous-espèces déjà

connues..


 Lorsqu'en1840 les Gould regagnent l' Angleterre, Gilbert continuera à leur

 expédier des milliers de dépouilles, ce qui permettra l'édition de 7 volumes 

 consacrés aux "Birds of Australia". Plus tad c'est Henry Constantine Richter qui 

poursuivra ces éditions. Elizabeth menait de front une carrière artistique et une

vie familiale, ce dernier voyage et la naissance de leur sixième enfant lui sont

 fatals et elle décède  en 1841, à l'âge de 37 ans.

John Gould reconnaitra ses mérites dans l'introduction de  "Birds of Australia"

 " A la fin de mes "Birds of Europe" j'ai eu le plaisir de souligner que presque

 toutes les planches ont été lithographiées par ma femme admirable.J'aurais aimé 

 avoir la chance de pouvoir en faire de même  pour le présent ouvrage.

 Malheureusement, ce n'est pas le cas.  Le Tout-Puissant a décidé de la rappeler à

 lui à peine un an après  notre retour d'Australie. Pendant ce séjour dans ce pays,

 elle a réalisé avec un talent inimitable une quantité énorme de dessins, aussi bien

 ornithologiques que botaniques. Ce travail a permis à Monsieur H C Richter auquel

 les planches ont été confiées après la mort déplorable de ma femme de faire

 aboutir ses efforts à ma plus grande satisfaction.

 Gould donnera aussi le nom d' Elizabeth  à un pinson d'une des îles du détroit de

 Bass." Poephila gouldiae"

 


 

 



                                   https://stringfixer.com/fr/Chloebia

à notre époque il y a toujours des passionnés, mais je connais certaines personnes

 qui ne supportent pas la visite des galeries d'oiseaux empaillés des museums 

                  https://www.youtube.com/watch?v=yOZxlA4plH4


https://books.google.fr/books?id=71qYuhz9FM8C&pg=PA61&lpg=PA61&dq=Poephila+gouldiae+Elizabeth+Gould&source=bl&ots=aMfM-w-KFS&sig=ACfU3U1z_YD6qFae1i9wek7zQGdjxgrvBw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjz49eh9JD3AhUIJBoKHfKBAYQQ6AF6BAgjEAM#v=onepage&q=Poephila%20gouldiae%20Elizabeth%20Gould&f=falsehttps://books.google.fr/books?id=71qYuhz9FM8C&pg=PA61&lpg=PA61&dq=Poephila+gouldiae+Elizabeth+Gould&source=bl&ots=aMfM-w-KFS&sig=ACfU3U1z_YD6qFae1i9wek7zQGdjxgrvBw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjz49eh9JD3AhUIJBoKHfKBAYQQ6AF6BAgjEAM#v=onepage&q=Poephila%20gouldiae%20Elizabeth%20Gould&f=false

lundi 11 avril 2022

Ornithologie : suite

 


 

Il serait intéressant de revenir sur John James Audubon (1785-1851) qui fut 

largement édité par Hullmandel, ce qui donna naissance à un ouvrage de 450 

planches au format géant de 100 X 70 cm dans "The Birds of America from 

original drawings made during a residence of 25 years in the United States".

 Audubon était français par son père officier de marine, né à Haiti, sa mère était

 créole. Envoyé faire son apprentissage chez Jacques Louis David, peintre néo

 classique, il préfère rejoindre l'Amérique du Nord où ses affaires ne furent pas

 florissantes. Il décide alors de partir dans les forêts inhabitées de l'Ouest  et 

navigue sur les fleuves pour observer la vie des oiseaux et les dessiner sur le vif ; 

prenant le temps d'observer leurs habitudes, les variations saisonnières de 

plumage et leurs différences entre mâles et femelles. Toutes ces observations qu'il

 reproduisait dans leur ensemble et leur environnement botanique avec un 

foisonnement d'insectes ou de reptiles ne plurent pas à Philadelphie mais firent le

 bonheur des éditeurs anglais . Ses collègues écossais Sir William Jardine et 

Prideaux John Selby l'initient alors à l'aquatinte; où l'on utilise encore les plaques 

de cuivre ointes d'acide nitrique ou chlorhydrique, donnant l'effet de dessins à 

l'encre de chine. Les connaisseurs d'Edimbourg ou de Londres applaudirent

 l'édition de ces quatre énormes volumes  mais  leur prix élevé était un obstacle

 pour une large diffusion : c'est alors que  le meilleur atelier lithographique  des

 Etats Unis décide d'éditer ces planches avec seuls les oiseaux,  dépouillées de

leur cadre de vie. Cette édition de "Birds of America" place alors les anglo-

américains  comme les meilleurs dans le domaine de l'illustration ornithologique. 

Et c'est maintenant qu'apparaît John Gould avec "A Century of birds hitherto 

unfigured, from the Himalaya Mountains"", 41 in-folio comportant trois mille

 planches coloriées à la main.

                                                  couple de  Xanthornus flaviceps

Nous allons suivre ses aventures.


Explication de la technique de l'aquatinte :

               https://www.youtube.com/watch?v=Sr9gFupOQ0I

dimanche 10 avril 2022

Ornithologie ; suite

  Est-ce la présence de Alois Senefelder à Londres en 1801 qui va faire de

 l'Angleterre  le centre de l'impression des grands ouvrages ornithologiques.

Il avait inventé la lithographie dans les années 1796-1767, à des fins différentes 

que la gravure des planches ornithologique mais pour rendre plus facile

 l'impression de ses partitions, il eut l'idée d'utiliser les pierres calcaires de

 Solnhofen, je ne me lance pas dans la description  des propriétés de cette pierre 

particulièrement adaptée à cette technique ; on utilisera à leur détriment les 

plaques de zinc.   Dans tous les cas c'est l'éditeur Charles Joseph Hullmandel  qui 

était à la tête d'un des ateliers lithographiques les  plus performants d'Angleterre.

 Comme nous l'avons déjà vu l'apport de l'avifaune des outre-mers au XIX ème fut

 un outil incontestable pour l'engouement des amateurs  du monde des oiseaux.

A son tour Thomas Bewick (1753 à 1828) crée "History of British birds" et les

 nombreuses éditions qui en furent faites constituèrent des livres très populaires.

               https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Bewick

Ce qui n'empêchaient pas des éditions de luxe qui atteignaient des sommes 

considérables.

 

Le casoar Bennett dans une gravure de la société Hüllmandel Walton Rassemblements d'un naturaliste en Australie George Bennett (1860).

 

 On donnait donc à ces nouvelles découvertes d'oiseaux le nom de leur peintre , il

faut bien rappeler qu'avant de graver il faut peindre.

                      https://www.youtube.com/watch?v=WvpyTXjH2Lo

               Hüllmandel a gravé de nombreuses oeuvres d'Edward Lear

 

 

                            https://www.youtube.com/watch?v=-tMJ0tyPdUY




                         https://www.youtube.com/watch?v=TBdhm8aQCPw 

Je vous disais bien que ce n'était qu'un survol des ornithologues !!! 

  https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Liste-de-zoologistes.html

https://ia803403.us.archive.org/18/items/laplumedesoiseau00mont/laplumedesoiseau00mont.pdf