mercredi 10 janvier 2018
Les collections
Messages lumineux et mouvants de Jenny Holzer ; installation spécialement conçue pour le Guggenheim : les messages sont en anglais, en espagnol (rouges) et en "euskera" (bleus) la langue basque.
Dans ce qu'il a nommé la grande nef, Richard Serra a installé sa
"Matter of Time".
(La Matière du temps)
acier patinable
Il est permis de donner ses impressions ; je l'ai de préférence abordée de haut refusant d'évoluer dans ces volumes où parait-il vous percevez des sensations vertigineuses
me contentant de l'effleurer pour en connaître la matière.
Beaucoup plus "emballée" par l'oeuvre de l'allemand Anselm Kiefer : né à Donaueschingen en 1945.
Die berühmten Orden der Nacht . Les Célèbres Ordres de la nuit
acrylique et émulsion sur toile
https://www.youtube.com/watch?v=M_xZ3ZEv7io
Ses oeuvres de grand format sont pleines de références à la tradition du romantisme allemand et à l'héritage politique de son pays. Sur cette palette presque monochrome prennent place des feuilles de plomb, de la paille, du plâtre, des graines, des cendres et de la terre.
En 1989 Kiefer s'installe dans le Sud de la France où il se centre désormais sur la spiritualité de l'homme et le fonctionnement de l'espit
https://www.youtube.com/watch?v=MGkXa__VB9E
Mais l'artiste du jour était David Hockney et sa galerie de portraits
Seule nature morte
Il fallait aussi voir Anni Albers, Henri Michaux qui n'excéderont pas les premiers mois de 2018
https://www.youtube.com/watch?v=-QLGtrSGGeE
https://www.guggenheim-bilbao.eus/fr/expositions/henri-michaux-de-lautre-cote/
mardi 9 janvier 2018
Architecture intérieure
Nous voilà donc revenus au Guggenheim : je vous propose d'en apprécier les volumes intérieurs ou les vues vers l'extérieur, avant d'aborder les collections.
Sa position en contre-bas de la ville permet de ne pas dépasser les constructions environnantes malgré ses 55 mètres de haut ; c'est la hauteur de son atrium soit une fois et demie de plus que la rotonde du Guggenheim new-yorkais dessinée, elle, par l'architecte Frank Lloyd Wright
Trois niveaux de galeries s'articulent autour de cet atrium central dans des volumes soit octogonaux de pierre calcaire ou d'autres revêtus de peau métallique de titane aux formes courbes et tordues.
La lumière rentre à flot par des murs-rideaux de verre dont les structures métalliques bénéficient des dernières avancées technologiques aussi bien que le traitement du verre destiné à isoler l'édifice de la chaleur.
C'était ma troisième visite en quelques années, nul doute que la prochaine sera encore différente .
Si le temps orageux, où averses et éclaircies se succédaient, m'a privé de l'extérieur, j'ai pleinement joui de l'intérieur en m'y fondant, plus attachée d'ailleurs à profiter de l'architecture que des collections.
Le pont de la Salve qui enjambe le fleuve s'intégre parfaitement à l'édifice, revisité et peint en rouge par Daniel Buren
Connu comme le pont de La Salve, son nom officiel est celui de "Príncipes de España".
En béton vert, il fut le premier pont d'Espagne doté d'un système de tirants et l'un des rares à être équipés d'un panneau métallique.
Il fut construit au début des années 1970 pour relier le centre-ville aux quartiers périphériques.
De nos jours, il est également intégré au Musée Guggenheim Bilbao.
Lors du dixième anniversaire du Musée, fut inaugurée sur le pont une grande porte rouge de l'artiste français Daniel Buren appelé
"l'Arc rouge"
De l'atrium on peut se rendre à l'extérieur sur une terrasse protégée par un auvent qui repose sur un unique pilier de pierre, elle abrite les "Tulips" de Jeff Koons
condensé des deux ......
Sa position en contre-bas de la ville permet de ne pas dépasser les constructions environnantes malgré ses 55 mètres de haut ; c'est la hauteur de son atrium soit une fois et demie de plus que la rotonde du Guggenheim new-yorkais dessinée, elle, par l'architecte Frank Lloyd Wright
Trois niveaux de galeries s'articulent autour de cet atrium central dans des volumes soit octogonaux de pierre calcaire ou d'autres revêtus de peau métallique de titane aux formes courbes et tordues.
La lumière rentre à flot par des murs-rideaux de verre dont les structures métalliques bénéficient des dernières avancées technologiques aussi bien que le traitement du verre destiné à isoler l'édifice de la chaleur.
C'était ma troisième visite en quelques années, nul doute que la prochaine sera encore différente .
Si le temps orageux, où averses et éclaircies se succédaient, m'a privé de l'extérieur, j'ai pleinement joui de l'intérieur en m'y fondant, plus attachée d'ailleurs à profiter de l'architecture que des collections.
Le pont de la Salve qui enjambe le fleuve s'intégre parfaitement à l'édifice, revisité et peint en rouge par Daniel Buren
Connu comme le pont de La Salve, son nom officiel est celui de "Príncipes de España".
En béton vert, il fut le premier pont d'Espagne doté d'un système de tirants et l'un des rares à être équipés d'un panneau métallique.
Il fut construit au début des années 1970 pour relier le centre-ville aux quartiers périphériques.
De nos jours, il est également intégré au Musée Guggenheim Bilbao.
Lors du dixième anniversaire du Musée, fut inaugurée sur le pont une grande porte rouge de l'artiste français Daniel Buren appelé
"l'Arc rouge"
De l'atrium on peut se rendre à l'extérieur sur une terrasse protégée par un auvent qui repose sur un unique pilier de pierre, elle abrite les "Tulips" de Jeff Koons
condensé des deux ......
mercredi 3 janvier 2018
Le Guggenheim
Inutile de préciser qu'il s'agit d'un musée, je pense que toute personne qui s'intéresse à l'art sait de quoi il s'agit.
Les instances dirigeantes basques alliées à la Fondation Guggenheim ont compris que l'implantation de ce musée à Bilbao ne pouvait que revitaliser le Pays Basque à la suite du déclin de la sidérurgie.
Un troisième volet donc pour cette fondation, après New-York et Venise ; le choix de l'architecte Frank O. Gehry a aussi été déterminant.
On peut admirer à égalité le contenant et le contenu, les extérieurs et l'intérieur.
Un peu en avance sur le rendez-vous donné à l'issue de la visite, j'ai pu voir défiler devant moi une population trés différente, les étrangers reconnaissables à leur stature et leur blondeur, les autochtones, à leurs hésitations, qui n'étaient peut-être jamais rentrés dans un musée, bref, l'universalité de l'art.
C'est une abondante chute de grêle qui m'a fait me précipiter à l'intérieur, heureusement arrivant à pied après avoir traversé le Zubizuri, j'ai pu admirer l'araignée géante "Maman " de Louise Bourgeois alors que la sculpture de brouillard de Fujiko Nakaya se diluait dans l'averse.
Vous ne verrez malheureusement pas les reflets environnants colorer ce géant de titane, sur mes photos, mais les sites qui lui sont consacrés vous apporteront d'autres lumières.
Mais qui est Frank Owen Gehry ?
Il est né à Toronto en 1929 dans une famille d'origine juive polonaise et abandonne le nom de Goldberg pour celui de Gehry ; ce n'est qu'en 1978, à cinquante ans que les transformations de sa propre maison à Santa Monica, lui inspirent des constructions inédites et audacieuses.
Le prestigieux "Pritzker Prize" lui est remis en 1989 au moment où le Vitra Museum de Weil am Rhein lui reconnaît sa prestigieuse originalité.
en approche, le Zubizuri, les quais, le pont
http://www.bilbaoturismo.net/BilbaoTurismo/fr/nuevos-puentes/pont-de-la-salve
Le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles dans sa conception est assez proche de l'édifice de Bilbao.
Mais ici tout est pensé intégré à la ville, au fleuve, à son passé industriel .
J'ai toujours gardé en mémoire la rotonde vertigineuse du Guggenheim de New-York, nul doute qi'elle va encore imprimer quelques images de celui-ci : à l'instant c'est le ciel noir de la tempête Bruno ....mais dans quelque temps ?
laquelle ?
Derniers instantanés avant la grêle
les "Tulips" de Jeff Koons
que nous reverrons plus tard
Anish Kapoor "Grand arbre et l'oeil"
Ce n'est aujourd'hui qu'une présentation générale, je reviendrai en détail sur ce géant au fur et à mesure de la découverte de mes photos.
C'est ainsi que je fonctionne, mon article est toujours un instantané, un dialogue avec vous, qui ne me répondez toutefois pas.
J'espère avoir demain matin le temps de poursuivre cette visite au Guggenheim.
sinon à mon retour
le père Noël m'a offert un billet pour aller voir le ballet Casse-Noisette avec l'Orchestre National de Russie.
Les instances dirigeantes basques alliées à la Fondation Guggenheim ont compris que l'implantation de ce musée à Bilbao ne pouvait que revitaliser le Pays Basque à la suite du déclin de la sidérurgie.
Un troisième volet donc pour cette fondation, après New-York et Venise ; le choix de l'architecte Frank O. Gehry a aussi été déterminant.
On peut admirer à égalité le contenant et le contenu, les extérieurs et l'intérieur.
Un peu en avance sur le rendez-vous donné à l'issue de la visite, j'ai pu voir défiler devant moi une population trés différente, les étrangers reconnaissables à leur stature et leur blondeur, les autochtones, à leurs hésitations, qui n'étaient peut-être jamais rentrés dans un musée, bref, l'universalité de l'art.
C'est une abondante chute de grêle qui m'a fait me précipiter à l'intérieur, heureusement arrivant à pied après avoir traversé le Zubizuri, j'ai pu admirer l'araignée géante "Maman " de Louise Bourgeois alors que la sculpture de brouillard de Fujiko Nakaya se diluait dans l'averse.
Vous ne verrez malheureusement pas les reflets environnants colorer ce géant de titane, sur mes photos, mais les sites qui lui sont consacrés vous apporteront d'autres lumières.
Mais qui est Frank Owen Gehry ?
Il est né à Toronto en 1929 dans une famille d'origine juive polonaise et abandonne le nom de Goldberg pour celui de Gehry ; ce n'est qu'en 1978, à cinquante ans que les transformations de sa propre maison à Santa Monica, lui inspirent des constructions inédites et audacieuses.
Le prestigieux "Pritzker Prize" lui est remis en 1989 au moment où le Vitra Museum de Weil am Rhein lui reconnaît sa prestigieuse originalité.
en approche, le Zubizuri, les quais, le pont
http://www.bilbaoturismo.net/BilbaoTurismo/fr/nuevos-puentes/pont-de-la-salve
Le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles dans sa conception est assez proche de l'édifice de Bilbao.
Mais ici tout est pensé intégré à la ville, au fleuve, à son passé industriel .
J'ai toujours gardé en mémoire la rotonde vertigineuse du Guggenheim de New-York, nul doute qi'elle va encore imprimer quelques images de celui-ci : à l'instant c'est le ciel noir de la tempête Bruno ....mais dans quelque temps ?
laquelle ?
Derniers instantanés avant la grêle
les "Tulips" de Jeff Koons
que nous reverrons plus tard
Anish Kapoor "Grand arbre et l'oeil"
Ce n'est aujourd'hui qu'une présentation générale, je reviendrai en détail sur ce géant au fur et à mesure de la découverte de mes photos.
C'est ainsi que je fonctionne, mon article est toujours un instantané, un dialogue avec vous, qui ne me répondez toutefois pas.
J'espère avoir demain matin le temps de poursuivre cette visite au Guggenheim.
sinon à mon retour
le père Noël m'a offert un billet pour aller voir le ballet Casse-Noisette avec l'Orchestre National de Russie.
mardi 2 janvier 2018
Bilbao, Bilbo
Bilbao est la capitale de la Biscaye, elle l'est à part entière par ses infrastructures, bus, métro, tramway : ses musées, dont le célébre Guggenheim ; comme la plupart des capitales un fleuve la traverse, c'est le Nervion : et arrivée de nuit, c'est par sa traversée sur le Zubizuri que le séjour a commencé .
Vous verrez plus tard que je l'ai à nouveau survolé d'une façon très originale.
Bref ce Zubizuri construit par l'architecte Calatrava s'appelle aussi le "Puente del Campo Volatin" et j'ai bien failli m'y envoler !! en tout cas mon parapluie s'y est plusieurs fois retourné.
Ce n'est heureusement qu'une passerelle réservée aux piétons.
Vous le reverrez demain de jour mais pour cet instant l'urgence était de se rapprocher de la vieille ville, le"Casco" et de tester les célèbres "pintxos" qui sont au bord de l'Atlantique ce que sont "les tapas" de la Méditerranée.
Les décorations de Noêl sont encore en place pour quelques jours.
Au bord du fleuve, les illuminations de l'Hôtel de Ville.
Autant le catalan en temps que langue "romane" m'est compréhensible autant le basque ne l'est pas.
Il faut d'abord se familiariser avec les distances, se repérer, et choisir.... mais cela devient très vite facile.
Vous verrez plus tard que je l'ai à nouveau survolé d'une façon très originale.
Bref ce Zubizuri construit par l'architecte Calatrava s'appelle aussi le "Puente del Campo Volatin" et j'ai bien failli m'y envoler !! en tout cas mon parapluie s'y est plusieurs fois retourné.
Ce n'est heureusement qu'une passerelle réservée aux piétons.
Vous le reverrez demain de jour mais pour cet instant l'urgence était de se rapprocher de la vieille ville, le"Casco" et de tester les célèbres "pintxos" qui sont au bord de l'Atlantique ce que sont "les tapas" de la Méditerranée.
Les décorations de Noêl sont encore en place pour quelques jours.
Au bord du fleuve, les illuminations de l'Hôtel de Ville.
Autant le catalan en temps que langue "romane" m'est compréhensible autant le basque ne l'est pas.
"Quand la Ville de Bilbao fut fondée il y a plus de 700 ans, ses
habitants vivaient des terres irrigables et de la pêche, et la ria
commençait déjà à se former comme la meilleure voie de communication
avec l'extérieur. Il existait à l'époque deux centres de population de
caractère différent: d'une part, la rive gauche ou "Bilbao la Vieja",
qui était une zone minière où l'on travaillait le fer dans les forges.
Et d'autre part, la rive droite, appelée "Casco Viejo", se consacrant au commerce et aux activités portuaires. Le coeur de ce Casco Viejo était entouré de murailles et formé de trois rues parallèles. Quelque temps plus tard, il fut nécessaire de démolir les murailles et de tracer quatre nouvelles rues perpendiculaires à la ria qui, avec les trois premières, composent aujourd'hui ce que l'on appelle "les Sept Rues". Depuis 1979, cette zone est piétonne et est devenue un centre commercial de 240 000 mètres carrés, avec des centaines de boutiques, bars et restaurants.
Nous n'oublierons jamais la plus grande catastrophe qu'ait jamais subi la ville de Bilbao, les inondations de 1983 qui dévastèrent la vieille ville et la détruisirent entièrement. Malgré la catastrophe, la Vieille Ville a su renaître et est même aujourd'hui l'un des quartiers les plus touristiques et commerciaux de la ville."
Et d'autre part, la rive droite, appelée "Casco Viejo", se consacrant au commerce et aux activités portuaires. Le coeur de ce Casco Viejo était entouré de murailles et formé de trois rues parallèles. Quelque temps plus tard, il fut nécessaire de démolir les murailles et de tracer quatre nouvelles rues perpendiculaires à la ria qui, avec les trois premières, composent aujourd'hui ce que l'on appelle "les Sept Rues". Depuis 1979, cette zone est piétonne et est devenue un centre commercial de 240 000 mètres carrés, avec des centaines de boutiques, bars et restaurants.
Nous n'oublierons jamais la plus grande catastrophe qu'ait jamais subi la ville de Bilbao, les inondations de 1983 qui dévastèrent la vieille ville et la détruisirent entièrement. Malgré la catastrophe, la Vieille Ville a su renaître et est même aujourd'hui l'un des quartiers les plus touristiques et commerciaux de la ville."
Il faut d'abord se familiariser avec les distances, se repérer, et choisir.... mais cela devient très vite facile.
lundi 1 janvier 2018
Nouvelle année 2018
Tout d'abord, je vous souhaite, en ce 1er Janvier, une heureuse année 2018 ;
j'espère qu'elle sera riche en découvertes, aussi riches que celles offertes par la
Bizkaia les derniers jours de décembre.
La tempête Bruno ne m'a pas permis beaucoup de vues ensoleillées et j'espère
que celle de Carmen attendue aujourd'hui ne va pas interrompre brutalement
cette connection.
Comme je m'y attendais le programme a été très varié ; cette entrée en matière
vous donne la localisation.
La Biscaye est une des trois provinces du Pays Basque Espagnol.
http://decouvrirlepaysbasque.com/pays-basque/regions/
La première étape fut Zumaia pour son littoral et le flysch
https://geoparkea.com/es/geologia
https://tourisme.euskadi.eus/fr/experiences-top/la-route-du-flysch/aa30-12378/fr/
La plage Itzurun est très vaste ; elle fut mise à profit pour le tournage d'une
bataille de la saison 7 de Game of Thrones
Les premiers chipirones" dégustés à Mutricu ont sans doute été les meilleurs du voyage ; cette halte dans ce petit port de pêche m'a permis de replonger dans la bataille de Trafalgar où l'enfant du pays Cosme Damien Churruca perdit la vie sur son navire, le San Juan de Nepomuceno.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cosme_Dami%C3%A1n_de_Churruca_y_Elorza#/media/File:Churruca_death.jpg
Il faudra dès lors prendre l'habitude de monter ou de franchir des marches tout est en étage.
En redescendant vers le port
Comme partout sur la péninsule ibérique, les façades ou les angles de maison sont blasonnés.
j'espère qu'elle sera riche en découvertes, aussi riches que celles offertes par la
Bizkaia les derniers jours de décembre.
La tempête Bruno ne m'a pas permis beaucoup de vues ensoleillées et j'espère
que celle de Carmen attendue aujourd'hui ne va pas interrompre brutalement
cette connection.
Comme je m'y attendais le programme a été très varié ; cette entrée en matière
vous donne la localisation.
La Biscaye est une des trois provinces du Pays Basque Espagnol.
http://decouvrirlepaysbasque.com/pays-basque/regions/
La première étape fut Zumaia pour son littoral et le flysch
https://geoparkea.com/es/geologia
https://tourisme.euskadi.eus/fr/experiences-top/la-route-du-flysch/aa30-12378/fr/
La plage Itzurun est très vaste ; elle fut mise à profit pour le tournage d'une
bataille de la saison 7 de Game of Thrones
Les premiers chipirones" dégustés à Mutricu ont sans doute été les meilleurs du voyage ; cette halte dans ce petit port de pêche m'a permis de replonger dans la bataille de Trafalgar où l'enfant du pays Cosme Damien Churruca perdit la vie sur son navire, le San Juan de Nepomuceno.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cosme_Dami%C3%A1n_de_Churruca_y_Elorza#/media/File:Churruca_death.jpg
Il faudra dès lors prendre l'habitude de monter ou de franchir des marches tout est en étage.
En redescendant vers le port
Comme partout sur la péninsule ibérique, les façades ou les angles de maison sont blasonnés.
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