Il date de 1857, l'un des plus puissants d'Espagne, il est le gardien des
navigateurs qui longent ces côtes escarpées.
Ce matin-là, le vent commençait à souffler et transformer la mer en un
immense troupeau de moutons blancs.
Je ne descendrai pas à la Calella de Palafrugell, j'y étais en 2014 (article du
4 06 2014 ) ; ce n'est pas une soirée d'été pour aller participer à une
"habanera".
Ce n'est que la chanson du vent et de la mer que j'entendrai, avec quelques
réminiscences des poèmes de Josep Pla.
- El paisatge us fa comprendre la literatura, perquè la literatura és la memòria del paisatge en el temps.
-
- Cartes de lluny, a El nord, 1967.
Côté Nord-Ouest les Pyrénées enneigées se profilent
Demain, nous descendrons au ras des vagues.
Revenons sur les "habaneras"
https://alacant.wordpress.com/2007/07/27/havaneres-habaneras-catalanas-su-origen/
https://www.youtube.com/watch?v=UphkhF-QR64
https://www.youtube.com/watch?v=e-1vCLEwPnk
https://www.youtube.com/watch?v=CqpeSVz7xog
Dicen que se muere el mar Dicen que sus aguas lloran Y que el rumor de las olas Es gemido de expirar Dicen que se muere el mar Dicen que sorbe un veneno Que calcinando su seno Quema su fecundidad ------ Olas que tristes lloráis Haced de vuestro gemir El grito lanzado al viento Que haga los hombres sentir Que de ellos es el lamento Que de ellos es el morir. Si se muere el mar Morirá la brisa Y sin ella la vida No podrá respirar. Si se muere el mar Morirá el poema De ilusiones que arrullan Cada despertar De esperanzas que alumbran Nuevo despertar Si se muere el mar… ------------- 2. Dicen que allá en alta mar Se oye una sirena Que entre quejidos y penas Va tejiendo su cantar Su voz de cristal, ¡Ay! Se quiebra en sus pinos En un adiós dolorido A su viejo amigo el mar ------------ Olas que tristes lloráis… |
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On dit que la mer se meurt
On dit que ses eaux pleurent
Et que la rumeur de ses vagues
Est le dernier souffle
On dit que la mer se meurt
On dit qu'elle boit un poison
Qui calcinant son sein
Brûle sa fécondité
(textuellement )
Vagues , tristes, vous pleurez
Faites de vos gémissements
le cri lancé au vent
qui fasse sentir aux hommes
que d'eux vient la lamentation
Et que d'eux vient la mort.
Si la mer meurt
la brise mourra
Et sans elle la vie
ne pourra respirer
Si la mer meurt
le poème mourra
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