http://www.mnhn.fr/fr/visitez/agenda/expositions/grands-mineraux-museum-national-histoire-naturelle
J'avais été aussi très séduite par celui de Vienne comme celui de la Smithsonian d'ailleurs .
http://www.nhm-wien.ac.at/en/research/mineralogy__petrography
http://mineralsciences.si.edu/collections.htm
et à l'Est quoi de nouveau ?
https://www.google.fr/search?q=russian+mineralogy&tbm=isch&imgil=lGj9EAt-eMMbxM%253A%253BGa_F0IdJrxb1IM%253Bhttp%25253A%25252F%25252Fwww.saint-petersburg.com%25252Fmuseums%25252Fmineralogical-museum%25252F&source=iu&pf=m&fir=lGj9EAt-eMMbxM%253A%252CGa_F0IdJrxb1IM%252C_&usg=__RxOyZlkB3weVe8E9taW1WYe0pco%3D&biw=1855&bih=951&ved=0ahUKEwiTz6vO-NPWAhWIJVAKHWxBCFsQyjcIRw&ei=zT3TWdO0JojLwALsgqHYBQ#imgrc=lGj9EAt-eMMbxM:
Mais pourquoi ne pas parler du diamant , j'y étais il y a quelques années......
l'affiche, avec beaucoup d'autres, tapisse les murs de mon garage.
Voyons ce que nous en dit Paul E. Desautels, Conservateur en chef du Département de Minéralogie de la Smithsonian Institution.
"Les premiers diamants connus de l'Histoire venaient des graviers de l'Inde et de Bornéo.
Le district de Golconde, en Inde, fut un des premiers producteurs réguliers.
Deux autres districts diamantifères importants de l'Inde sont situés, le premier plus au Nord, entre les rivières Mahanadi et Godavari, et le second dans le centre, près de la ville de Panna.
Depuis les temps anciens jusqu'à la découverte de diamants au Brésil en 1728, ces mines indiennes étaient les principales productrices.
Aujourd'hui leur rendement est si faible que les bénéfices justifient à peine les frais.
L'extraction du diamant au Brésil commença quand des esclaves qui cherchaient de l'or trouvèrent quelques cailloux inhabituels qui luisaient et brillaient.
Quand il apparut à l'examen qu'il s'agissait de diamants ce fut la ruée.
Des mines de diamant s'ouvrirent dans le cours supérieur du Rio Jequitinhonha, dans l'étât de Minas Gerais et du Rio San Francisco dans celui de Bahia..
Ici comme en Inde, on trouvait des diamants en lavant les graviers des rivières.
La coutume était que quand un esclave trouvait une pierre particulièrement belle, on l'honorait, on l'habillait de neuf et on lui donnait la liberté.
Une légende locale raconte l'histoire de cette esclave qui avait trouvé l'Etoile du Sud, diamant de 254 carats : non seulement elle fut affranchie, mais reçut une pension jusqu'à la fin de ses jours.
L'exploitation du diamant au Brésil fut éclipsée au début du XIXème siècle par la découverte de gisements diamantifères en Afrique du Sud.
Les procédés brésiliens d'extraction étaient primitifs ; les gisements accessibles avaient été épuiséset les atres n'étaient pas aussibondants que ceyx d'Afrique.
On découvrit sur le continent africain une série de gisements de diamant en même temps que débuta, en 1866, la grande ruée vers l'Afrique d Sud.
Et la recherche intensive de diamants dure toujours.
On appelle souvent le diamant le "roi des pierres précieuses" .
Composé de carbone presque pur, il possède à un degré supérieur tout ce qui confère à une substance minérale la qualité de gemme : l'éclat, la beauté, la durabilité, la possibilité d'être portée.
Et, avantage supplémentaire, il se trouve aussi qu'il est à la mode. .............................................................................................................
Cependant le diamant est fragile et de plus il a un "clivage", son "grain" comme disent les tailleurs de pierre.
Sous le choc d'un coup sec, il peut se fissurer, s'ébrécher ou même se cliver. Le diamant peut offrir toute une gamme de couleurs.
La plupart des diamants gemmes sont incolores et transparents comme l'eau.
Quelques uns sont d'une teinte bleu acier très pâle qu'on appelle blanc bleuté.
La couleur ou son absence, est un élément important dans l'évaluation commerciale des diamants.
Le prix de deux diamants, identiques par leur éclat, leur beauté et la perfection de leur taille, et, où il n'y a pas de trace d'inclusion, peut varier du simple au double par suite d'une légère différence de couleurs.
Les diamants colorés de très belle qualité, les "fantaisies" sont tout à fait rares et atteignent les prix les plus élevés.
Lorsqu'on pense à la rareté des vrais diamants bleus, on éprouve une certaine surprise quand pour la première fois, on voit le Hope à la Smithsonian Institution de Washington, dans sa niche tapissée de feutre noir.
La fantastique histoire du Hope se déroule comme un roman policier avec des trous inexplicables.
Il a été apporté d'Inde en France par Tavernier, un chercheur de gemmes connu qui le vendit à Louis XIV en 1668. Après avoir été taillé en une pierre de forme triangulaire pesant 67,13 carats, il prit place dans la collection des joyaux de la Couronne de France.
En 1793, pendant la révlution française, il fut saisi et avec d'autres trésors, fut déposé au garde-meuble d'où par la suite il disparut.
En 1830, un diamant bleu, de forme quelque peu irrégulière et pesant 44,5 carats fut vendu à Sir Thomas Hope à Londres. Il paraissait avoir été taillé dans le diamant bleu français.
En 1874, quand les pierres précieuses du duc de Brunswick furent vendues aux enchères à Genève, il se trouvait dans le nombre une gemme bleue pesant de 6 à 7 carats.
Par la couleur elle ressemblait étonnamment au Hope et était très vraisemblablement la pointe qui manquait au diamant bleu français.
Quand au Hope il passa dans plusieurs mains, laissant derrière lui un sillage légendaire de malheur et de violence, jusqu'au jour, en 1949, où il fut acquis par le joaillier newyorkais Harry Winston qui plus tard l'offrit à la Smithsonian Institution.
Une légende locale raconte l'histoire de cette esclave qui avait trouvé l'Etoile du Sud, diamant de 254 carats : non seulement elle fut affranchie, mais reçut une pension jusqu'à la fin de ses jours.
L'exploitation du diamant au Brésil fut éclipsée au début du XIXème siècle par la découverte de gisements diamantifères en Afrique du Sud.
Les procédés brésiliens d'extraction étaient primitifs ; les gisements accessibles avaient été épuiséset les atres n'étaient pas aussibondants que ceyx d'Afrique.
On découvrit sur le continent africain une série de gisements de diamant en même temps que débuta, en 1866, la grande ruée vers l'Afrique d Sud.
Et la recherche intensive de diamants dure toujours.
On appelle souvent le diamant le "roi des pierres précieuses" .
Composé de carbone presque pur, il possède à un degré supérieur tout ce qui confère à une substance minérale la qualité de gemme : l'éclat, la beauté, la durabilité, la possibilité d'être portée.
Et, avantage supplémentaire, il se trouve aussi qu'il est à la mode. .............................................................................................................
Cependant le diamant est fragile et de plus il a un "clivage", son "grain" comme disent les tailleurs de pierre.
Sous le choc d'un coup sec, il peut se fissurer, s'ébrécher ou même se cliver. Le diamant peut offrir toute une gamme de couleurs.
La plupart des diamants gemmes sont incolores et transparents comme l'eau.
Quelques uns sont d'une teinte bleu acier très pâle qu'on appelle blanc bleuté.
La couleur ou son absence, est un élément important dans l'évaluation commerciale des diamants.
Le prix de deux diamants, identiques par leur éclat, leur beauté et la perfection de leur taille, et, où il n'y a pas de trace d'inclusion, peut varier du simple au double par suite d'une légère différence de couleurs.
Les diamants colorés de très belle qualité, les "fantaisies" sont tout à fait rares et atteignent les prix les plus élevés.
Lorsqu'on pense à la rareté des vrais diamants bleus, on éprouve une certaine surprise quand pour la première fois, on voit le Hope à la Smithsonian Institution de Washington, dans sa niche tapissée de feutre noir.
La fantastique histoire du Hope se déroule comme un roman policier avec des trous inexplicables.
Il a été apporté d'Inde en France par Tavernier, un chercheur de gemmes connu qui le vendit à Louis XIV en 1668. Après avoir été taillé en une pierre de forme triangulaire pesant 67,13 carats, il prit place dans la collection des joyaux de la Couronne de France.
En 1793, pendant la révlution française, il fut saisi et avec d'autres trésors, fut déposé au garde-meuble d'où par la suite il disparut.
En 1830, un diamant bleu, de forme quelque peu irrégulière et pesant 44,5 carats fut vendu à Sir Thomas Hope à Londres. Il paraissait avoir été taillé dans le diamant bleu français.
En 1874, quand les pierres précieuses du duc de Brunswick furent vendues aux enchères à Genève, il se trouvait dans le nombre une gemme bleue pesant de 6 à 7 carats.
Par la couleur elle ressemblait étonnamment au Hope et était très vraisemblablement la pointe qui manquait au diamant bleu français.
Quand au Hope il passa dans plusieurs mains, laissant derrière lui un sillage légendaire de malheur et de violence, jusqu'au jour, en 1949, où il fut acquis par le joaillier newyorkais Harry Winston qui plus tard l'offrit à la Smithsonian Institution.
à suivre
http://www.20minutes.fr/sciences/711511-20110421-sciences-le-museum-poursuite-diamant-bleu
http://www.galeriedemineralogieetgeologie.fr/fr/collections
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