vendredi 15 juillet 2016
jeudi 14 juillet 2016
Il était temps...
Voici un article plutôt éclectique parce que j'ai pris le temps d'aller jusqu'à Laroque où la Maison Sage inaugurait son exposition annuelle avec pour thème "le temps ".... Si vous y prenez garde, le temps est partout, nous y sommes plongés, par tous les temps ... et pour cette "pitchoune "mésange il était temps de la sauver.
Heureusement j'étais là et cette mangeoire est dans mon champ de vision. Tellement affolée de se retrouver prisonnière il a fallu que je renverse tous les grains et la fasse sortir avec mille précautions par le couvercle pour la faire échapper, elle n'a pas demandé son reste d'ailleurs.
Je me demande bien par quelle fatalité l'orifice de sortie des grains s'est trouvé bouché et pourquoi cette gourmande s'est introduite par le dit orifice !!!..
Mais j'ai déjà surpris des tourterelles qui s'y accrochent ; mais quel concours de circonstances !!! qui caractérisent les accidents.
Revenons au temps et restons dans les plumes.
A la Maison Sage qui explore donc cette année tous les temps, l'édifice est assez vaste pour les faire figurer d'une façon ou d'une autre, des temps géologiques du Dévonien au "Poubélien" notre ère, baptisée par Christiane qui cherche toujours à sensibiliser les publics sur nos responsabilités.
Je n'ai photographié que des "Collections personnelles" tous ces jeunes artistes n'ont pas les moyens de se battre contre "les piratages" .
A titre tout à fait exceptionnel j'ai "adoré" ce Temps d'orage sur Bugarach de Philippe Dubedat
un vrai cadran solaire à Laroque d'Olmes, très original
avec "le temps de se lever" un vrai réveille matin qui vous sort de vos plumes, le coq.
ou bien le temps de veiller, le hibou..
le temps des vendanges ; il y en a tant de temps !!! que je n'ai pas eu le temps de tout vous montrer ou vous expliquer !!! il faut y aller.
Heureusement j'étais là et cette mangeoire est dans mon champ de vision. Tellement affolée de se retrouver prisonnière il a fallu que je renverse tous les grains et la fasse sortir avec mille précautions par le couvercle pour la faire échapper, elle n'a pas demandé son reste d'ailleurs.
Je me demande bien par quelle fatalité l'orifice de sortie des grains s'est trouvé bouché et pourquoi cette gourmande s'est introduite par le dit orifice !!!..
Mais j'ai déjà surpris des tourterelles qui s'y accrochent ; mais quel concours de circonstances !!! qui caractérisent les accidents.
Revenons au temps et restons dans les plumes.
A la Maison Sage qui explore donc cette année tous les temps, l'édifice est assez vaste pour les faire figurer d'une façon ou d'une autre, des temps géologiques du Dévonien au "Poubélien" notre ère, baptisée par Christiane qui cherche toujours à sensibiliser les publics sur nos responsabilités.
Je n'ai photographié que des "Collections personnelles" tous ces jeunes artistes n'ont pas les moyens de se battre contre "les piratages" .
A titre tout à fait exceptionnel j'ai "adoré" ce Temps d'orage sur Bugarach de Philippe Dubedat
un vrai cadran solaire à Laroque d'Olmes, très original
avec "le temps de se lever" un vrai réveille matin qui vous sort de vos plumes, le coq.
ou bien le temps de veiller, le hibou..
le temps des vendanges ; il y en a tant de temps !!! que je n'ai pas eu le temps de tout vous montrer ou vous expliquer !!! il faut y aller.
mercredi 13 juillet 2016
Enquête
Je vous en avais déjà parlé, cartes et documents en main, me voici repartie en quête des carrières de marbre spécifiques à ma région ; et pas pour moi mais un universitaire qui répertorie les marbres nationaux peut-être plus, d'ailleurs, car entre la trentaine de mails que nous avons déjà échangés, il est déjà parti au Japon et partait pour les USA. Enquête qui se poursuit avec l'interrogation des "anciens" 90 ans et plus, les seuls qui puissent encore se souvenir de cette activité marbrière qui a connu ses heures de gloire.
Les carrières délaissées sont enfouies dans la végétation et difficiles à retrouver.
Ce sujet est quand même très ciblé et pour vous intéresser, il faut quand même vous en donner quelques images.
Ce qui n'est pas non plus sans quelques manipulations pour retrouver les dossiers concernés, dans mon disque dur externe.
Tout est quasiment prêt pour sa venue en Août.
Vous vous doutez bien que cet amour des marbres ne me vient pas d'aujourd'hui ; la statuaire Antique où nos marbres s'exportèrent de Rome à Constantinople (grand antique d'Aubert),( les marbres de St Béat ), celle du XVIII ème qui a meublé les plus grands édifices nationaux, jusqu'au tombeau de Napoléon, autant de colonnes, bustes, frontons ou même sols et dallages autant de combinaisons de couleurs plus chatoyantes les unes que les autres.
Carrière de Campan
Recherches qui m'avaient amenée il y a quelques années à rencontrer que ce soit Pascal Julien, grand spécialiste des marbres Versaillais ou Bernard Peybernès (le Jurassique et le Crétacé dans le cycle Alpin des Pyrénées ) tous deux professeurs à l'Université dans leurs domaines respectifs.
C'est ici que l'on pourrait inverser l'intitulé de mon blog, c'est dans cette activité que la nature a fait de l'art plus tard savamment exploité par l'homme qui a su la façonner et lui donner les plus beaux faciès.
Serpent en marbre de Sarrancolin
Pourqoi Bernard Peybernés et bien parce que les marbres sont ou Mésozoïques ou Bréchiques. (documents aimablement fournis par Bernard Peybernès ).
J'ai aussi retrouvé hier sur le Net un texte de la Société d'Encouragement qui mentionnait que les fabricants des marbres de Bélesta, la Société Maurel et Courrent avaient reçus une médaille de bronze.
Plusieurs scieries à marbre animaient, à Belesta, le cours de l'Hers, y compris dans la Fontaine de Fontestorbes et c'est ce marbre proche, parait-il semblable à celui de Caunes qui y était probablement scié et dont nous n'arrivons pas à retrouver la carrière malgré les indications de M. C Bergès dans ses Lectures Morales suvies de la description du département de l'Ariège.
(avis aux détectives )
Pour mémoire si vous vous intéressez aux marbres
allez visiter le Musée du Marbre à Bagnères de Bigorre.
En sont extraits les oeuvres présentes à l'exposition inaugurale.
Mais à cette époque je n'avais pas de blog et j'étais moins méthodique......
sur les noms des artistes ...
Ne m'en veuillez donc pas si je suis un peu moins présente sur mon blog !... je travaille !
extrait d'un texte de Louis Anglade, Carrier
" Evolution technique du travail du marbre de l’Antiquité à nos jours :
De son origine exacte nous savons peu de chose.
Sait-on qui a commencé ?
En Egypte, c’est vers 2800 ans avant J.C. que l’usage exclusif de la pierre est l’œuvre du
Ministre-Architecte Imhotep.
C’est à cette époque que débute le travail en carrière.
L’extraction par tranchées de havage se faisait par percution avec des pierres dures
souvent de la dolérite. Les outils de taille étaient en bronze martelé à froid.
L’utilisation du fer est arrivée par la suite.
Les Grecs ont élevé de grands temples et fait de nombreuses statues aux proportions
harmonieuses.
Les Romains sont crédités d’un énorme travail de prospection des marbres et roches
ornementales dans leur immense Empire.
En France ils ont localisés les principaux gisements. Ils ont utilisé le fer pour leurs
outils, leurs coins et la mise au point d’un procédé d’extraction qui est resté le même
jusqu’au XIXème siècle et même plus tard dans certaines carrières.
Le travail en carrière était resté le même depuis l’antiquité. On utilisait toujours, depuis
la connaissance du fer et l’époque Romaine les mêmes outils pour l’extraction, travail
long et difficile, œuvre des traceurs, qui, pour être de bons carriers, devaient être de
bons forgerons.
Au XIXème siècle, seule les manutentions étaient améliorées avec l’arrivée de vérins et
crics pour les levages et les treuils à chaînes, sur roues appelés « crapeaux » pour tirer
les blocs et les charger.
EXTRACTION ANCIENNE DES MARBRES : LES OUTILS
Les premiers outils étaient le pic, la pioche, l’escoude, la massette, la broche ou
l’aiguille, le ciseau, la masse, le têtu ou le marteau têtu, les coins (en fer et en bois).
La manutention, la pince, les leviers, les rouleaux.
LES TYPES D’EXPLOITATION :
Il faut distinguer deux types d’exploitations différentes correspondant aux gisements
que nous classerons en deux catégories principales, ceux qui sont stratifiés en couches
de différentes épaisseurs et qui bénéficient de couches de lits naturels, et ensuite les
conglomérats, les brèches, et certains marbres stratifiés qui ont des lits tellement serrés
que l’on ne peut séparer, qui sont d’énormes volumes sans faille d’une extraction
difficile.EXPLOITATION DITE STRATIFIEE :
Elle présente des couches superposées de différentes épaisseurs souvent en position, " etc
Les carrières délaissées sont enfouies dans la végétation et difficiles à retrouver.
Ce sujet est quand même très ciblé et pour vous intéresser, il faut quand même vous en donner quelques images.
Ce qui n'est pas non plus sans quelques manipulations pour retrouver les dossiers concernés, dans mon disque dur externe.
Tout est quasiment prêt pour sa venue en Août.
Vous vous doutez bien que cet amour des marbres ne me vient pas d'aujourd'hui ; la statuaire Antique où nos marbres s'exportèrent de Rome à Constantinople (grand antique d'Aubert),( les marbres de St Béat ), celle du XVIII ème qui a meublé les plus grands édifices nationaux, jusqu'au tombeau de Napoléon, autant de colonnes, bustes, frontons ou même sols et dallages autant de combinaisons de couleurs plus chatoyantes les unes que les autres.
Carrière de Campan
Recherches qui m'avaient amenée il y a quelques années à rencontrer que ce soit Pascal Julien, grand spécialiste des marbres Versaillais ou Bernard Peybernès (le Jurassique et le Crétacé dans le cycle Alpin des Pyrénées ) tous deux professeurs à l'Université dans leurs domaines respectifs.
C'est ici que l'on pourrait inverser l'intitulé de mon blog, c'est dans cette activité que la nature a fait de l'art plus tard savamment exploité par l'homme qui a su la façonner et lui donner les plus beaux faciès.
Serpent en marbre de Sarrancolin
Pourqoi Bernard Peybernés et bien parce que les marbres sont ou Mésozoïques ou Bréchiques. (documents aimablement fournis par Bernard Peybernès ).
J'ai aussi retrouvé hier sur le Net un texte de la Société d'Encouragement qui mentionnait que les fabricants des marbres de Bélesta, la Société Maurel et Courrent avaient reçus une médaille de bronze.
Plusieurs scieries à marbre animaient, à Belesta, le cours de l'Hers, y compris dans la Fontaine de Fontestorbes et c'est ce marbre proche, parait-il semblable à celui de Caunes qui y était probablement scié et dont nous n'arrivons pas à retrouver la carrière malgré les indications de M. C Bergès dans ses Lectures Morales suvies de la description du département de l'Ariège.
(avis aux détectives )
Pour mémoire si vous vous intéressez aux marbres
allez visiter le Musée du Marbre à Bagnères de Bigorre.
En sont extraits les oeuvres présentes à l'exposition inaugurale.
Mais à cette époque je n'avais pas de blog et j'étais moins méthodique......
sur les noms des artistes ...
Ne m'en veuillez donc pas si je suis un peu moins présente sur mon blog !... je travaille !
extrait d'un texte de Louis Anglade, Carrier
" Evolution technique du travail du marbre de l’Antiquité à nos jours :
De son origine exacte nous savons peu de chose.
Sait-on qui a commencé ?
En Egypte, c’est vers 2800 ans avant J.C. que l’usage exclusif de la pierre est l’œuvre du
Ministre-Architecte Imhotep.
C’est à cette époque que débute le travail en carrière.
L’extraction par tranchées de havage se faisait par percution avec des pierres dures
souvent de la dolérite. Les outils de taille étaient en bronze martelé à froid.
L’utilisation du fer est arrivée par la suite.
Les Grecs ont élevé de grands temples et fait de nombreuses statues aux proportions
harmonieuses.
Les Romains sont crédités d’un énorme travail de prospection des marbres et roches
ornementales dans leur immense Empire.
En France ils ont localisés les principaux gisements. Ils ont utilisé le fer pour leurs
outils, leurs coins et la mise au point d’un procédé d’extraction qui est resté le même
jusqu’au XIXème siècle et même plus tard dans certaines carrières.
Le travail en carrière était resté le même depuis l’antiquité. On utilisait toujours, depuis
la connaissance du fer et l’époque Romaine les mêmes outils pour l’extraction, travail
long et difficile, œuvre des traceurs, qui, pour être de bons carriers, devaient être de
bons forgerons.
Au XIXème siècle, seule les manutentions étaient améliorées avec l’arrivée de vérins et
crics pour les levages et les treuils à chaînes, sur roues appelés « crapeaux » pour tirer
les blocs et les charger.
EXTRACTION ANCIENNE DES MARBRES : LES OUTILS
Les premiers outils étaient le pic, la pioche, l’escoude, la massette, la broche ou
l’aiguille, le ciseau, la masse, le têtu ou le marteau têtu, les coins (en fer et en bois).
La manutention, la pince, les leviers, les rouleaux.
LES TYPES D’EXPLOITATION :
Il faut distinguer deux types d’exploitations différentes correspondant aux gisements
que nous classerons en deux catégories principales, ceux qui sont stratifiés en couches
de différentes épaisseurs et qui bénéficient de couches de lits naturels, et ensuite les
conglomérats, les brèches, et certains marbres stratifiés qui ont des lits tellement serrés
que l’on ne peut séparer, qui sont d’énormes volumes sans faille d’une extraction
difficile.EXPLOITATION DITE STRATIFIEE :
Elle présente des couches superposées de différentes épaisseurs souvent en position, " etc
lundi 11 juillet 2016
Jacobins - suite
L'inauguration de cette exposition coïncidait avec leur passage à Toulouse ; dès le lendemain ils étaient à Prouille puis Sienne, Bologne et Rome.
Les photos sont superbes et la qualité sonore telle que je me suis surprise à ôter les écouteurs pensant que j'entendais réellement parler avec l'acoustique si caractéristique des chapelles.
Voyage immortalisé par quelques photos de groupe.
Puis sur un rappel ils se sont tous égayés comme une volée de moineaux laissant les lieux tout à mon loisir et j'en ai profité !!..
Je dédie cette photo à l'auteur de la "La Grive", je ne l'ai trouvée qu'au téléobjectif , intacte car très haute. (traces de polychromie)
D'autres dans la nef :
Puis je sortais et m'arrêtais chez notre célèbre glacier ariègeois Philippe Faur, place du Capitole et entre deux parasols ... j'aperçois encore des robes blanches sur le balcon du Capitole.
Nul doute qu'ils ont été impressionnés par la visite de la salle des Illustres !!
dimanche 10 juillet 2016
Les Dominicains
ou les 800 ans de présence dominicaine à Toulouse.
Je vous avais prévenus, aucun lien et encore moins de transition avec les articles précédents mais quelle jubilation d'être au milieu de ces habits blancs où le petit sac à dos noir, quelque fois doublé d'un chapeau exotique, tranchait sur les capuchons blancs.
Ils avaient pris possession de ces lieux ; les voir évoluer si l'on peut dire "chez eux" dans ce cloître des Jacobins, animer chapelle ou salle capitulaire avec joie et spontanéité relevait du.... miracle.
Chez eux, pas vraiment, il y en avait de partout, de tous les continents, de la Chine en passant par l'Australie ou le Pérou ou bien l'Afrique... ils étaient 85 !!
J'ai souhaité vous en communiquer le témoignage :
Sagement alignés pour écouter les allocutions du Maire de Toulouse ou de leur Frére Prieur.
ou bien sensibles à la beauté des lieux
celui-ci venait de Chine
Vous verrez demain qu'ils ne se sont pas contentés des Jacobins......
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominique_de_Guzm%C3%A1n
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_des_Pr%C3%AAcheurs
mardi 5 juillet 2016
Interractions
Ces trois articles qui se succèdent et rendent compte de la dernière exposition du Musée des Abattoirs, me permettent de vous faire patienter jusqu'à mon retour.
Ce que je m'attend à voir et entendre devrait afficher une opposition majeure aux deux précédents ; celui-ci tranche moins, déjà :
conclusion peu optimiste
et qui se complique avec :
Ce que je m'attend à voir et entendre devrait afficher une opposition majeure aux deux précédents ; celui-ci tranche moins, déjà :
conclusion peu optimiste
et qui se complique avec :
Epoxy
http://traduction.sensagent.com/EPOXY/fr-el/
" Le graffiti représente une forme d'expression extrêmement ancienne qui existe depuis l'Antiquité.
Il consiste à apposer sa marque, sa signature, son sigle clandestinement sur des supports en tout genre..
La particularité de cet art est qu'il se déploie dans l'espace public.
Il s'affiche au grand jour, accessible à tous.
Le graffii tel qu'on le connaît aujourd'hui est né dans les années 1960 au coeur des Etats-Unis"
Les salles gigantesques des Abattoirs mettent en valeur ces oeuvres ; je ne vous cache pas que je trouve mes photos réussies.......
Mist est reconnu dans toute l'Europe comme l'un des meilleurs dans le style "Wild Style" : ce style qui entrelace et chevauche les lettres.
Il fera évoluer son travail en rendant ses graffitis beaucoup plus abstraits.
Beaucoup moins explicite cette photo qui ne représente qu'un tout petit quart du travail de KR qui précise qu'il peut réaliser ce "drip" en dimensions inférieures .
Il a bouleversé le monde du "street art" en créant sa propre encre.
" Le graffiti représente une forme d'expression extrêmement ancienne qui existe depuis l'Antiquité.
Il consiste à apposer sa marque, sa signature, son sigle clandestinement sur des supports en tout genre..
La particularité de cet art est qu'il se déploie dans l'espace public.
Il s'affiche au grand jour, accessible à tous.
Le graffii tel qu'on le connaît aujourd'hui est né dans les années 1960 au coeur des Etats-Unis"
Les salles gigantesques des Abattoirs mettent en valeur ces oeuvres ; je ne vous cache pas que je trouve mes photos réussies.......
Mist est reconnu dans toute l'Europe comme l'un des meilleurs dans le style "Wild Style" : ce style qui entrelace et chevauche les lettres.
Il fera évoluer son travail en rendant ses graffitis beaucoup plus abstraits.
Beaucoup moins explicite cette photo qui ne représente qu'un tout petit quart du travail de KR qui précise qu'il peut réaliser ce "drip" en dimensions inférieures .
Il a bouleversé le monde du "street art" en créant sa propre encre.
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