mardi 11 avril 2017

La couleur dans l'Antiquité

https://anabases.revues.org/721

https://www.uni-goettingen.de/de/207195.html


 Questionnement aussi pour "le Faucheur" de Françoise Quardon
qui virevolte en introduction au Noir


 Françoise Quardon née en 1961 à Nantes  vit et travaille au Pré-Saint-Gervais.
Elle s'intéresse à différents médiums comme la vidéo, la photographie ou le design et recourt à de multiples références culturelles.
Séduisant et inquiétant  "le faucheur" est un lustre extrait d'un ensemble de cinq oeuvres intitulé I believe in miracles, présenté en 2010 pour l'exposition "Fantasmagoria, le monde mythique au musée des Abbattoirs de Toulouse.

 IL vous intrigue avec son bruit de chocs répétés, mais gare !! de toute façon il est accroché suffisamment haut pour la sécurité.

 http://www.lesabattoirs.org/blog/des-histoires-dexpositions/francoise-quardon-fantasmagoria-le-monde-mythique




 Il faut aborder cette toile sous plusieurs angles, attention et observation facilitée par la proximité et par son unicité.

Peut-on considérer qu'elle est polluée par les reflets des lumières environnantes  ou au contraire animée et vivante par les apports de son environnement qui ne sera jamais le même en fonction des lieux de son accrochage.
Ici c'est le flot de la lumière du jour qui introduit deux touches blanches dans un noir qui se bleute..


L'Art de la couleur




à croire que l'art n'intéresse plus  ? !!!

 encore seule ce matin dans ce vaste Palais des Evêques  !!!

 tant mieux !!! j'ai laissé mon sac n'importe où

  j'ai déambulé à ma guise

 et pris le parti de jouer avec les reflets au lieu de les éviter

Je vous fait attendre un peu ..

 on glisse de mes fleurs sur les extérieurs
 sauf pour la lithographie de Jean Bazaine  que je trouve particulièrement de saison..

 Trois couleurs majeures dans cette exposition : le noir, mais l'outre-noir de Soulages, vous le verrez, n'est vraiment jamais noir.

Le rouge et le bleu, pas mal donc que je vous envoie du vert !!!





 Les remparts gallo-romains et la Cathédrale de St Lizier avec au premier plan le vert acidulé des feuilles naissantes du figuier



















les glycines bourdonnantes d'abeilles même de bonne heure.







c'est pour le mauve !!!...















                                 ....
...........................................
                                                     et je m'y suis immiscée.



                                                            ce ne sera pas le seul !





lundi 10 avril 2017

Un jour dans mon jardin

 Somptueuses couleurs : flore et minéraux rivalisent,  en attendant une surprise que je vous réserve..
 couleurs, aussi, je n'en dis pas plus pour aujourd'hui....

 Le soleil donc, bien pâle encore, a trouvé un hublot pour passer entre les branches,





 trop pâle encore pour réchauffer le merle, trempé, qui s'ébroue et laisse pendre l'aile au soleil pour mieux sécher.





Peu à peu Phoebus  monte dans le ciel et vient enfin raviver les tulipes qui s'éveillent en ouvrant leurs pétales:


          
                                                     Rouge rubis


                                                                    un peu topaze


                          ou panachée

                                              l'Améthyste des giroflées :



          Les Verdiers disputent les graines de tournesol aux  mésanges et celui-ci n'hésite pas à mettre les pieds dans le plat....



   le lézard intrigué par l'objectif de l'appareil photo ne me quittait pas de l'oeil



 le jaune éclatant des fleurs de forsythia s'atténue pour laisser place aux feuilles


             tandis que les flots de l'Hers ont un peu retrouvé de calme.

Le cerisier n'a pas fini de fleurir



                 les feuilles aussi pointent le jade de leur vert tendre.


                                                     à contre-jour: 
 Les tulipes sauvages disputent leur espace au muguet déjà formé qui sera prêt pour le premier mai.



En élaguant la base des arbres de leurs touffes d'herbes, j'ai délogé une charmante vipère, je ne pouvais la photographier avec les ciseaux à la main.
 Surprise elle a sauté à l'eau en s'enroulant sur les brindilles du bord et comme avec le lézard nous nous sommes observées longuement : puis jugeant que le tête à tête avait suffisamment duré, elle s'est doucement glissée dans un trou.

Il y a aussi les frisées aux nuances subtiles mais la jaune me donne du fil à retordre, je ne la photographie désormais que lorsqu'elle est à l'ombre ou presque




            Bientôt viendront les lys, les dahlias et beaucoup d'autres.




vendredi 7 avril 2017

suite

La production des montres- bracelets ne s'arrête pas à Cartier qui  en a fait  de véritables bijoux  ; d'autres firmes ont et font encore de cette montre un objet dont plus personne ne peut se passer et il est impossible de les passer sous silence.
Sans doute plus fonctionnelles et moins artistiques à notre époque.

Personnellement, je suis abonnée aux montres Swatch, avec des bracelets métalliques mais je regretterai toujours le geste traditionnel d'avant la nuit de tourner le remontoir. J'ai heureusement plusieurs pendules à remonter avec leurs clés. Je reste réfractaire aux réveils à pile et lorsque j'ai besoin d'un réveil très matinal, je remonte avec délice mes vieux réveils, deux, d'ailleurs, au cas où l'un d'eux, flanche  !!!

 Edouard Bovet en 1820 fonde d'abord à Londres avec ses frères une manufacture qu'il transfère par la suite à Fleurier  dans le Jura Suisse.
Il revient juste de Chine et le commerce qu'il entame alors avec  ce pays lui permet de développer la montre dite "Chinoise".
De son séjour à Londres il a ramené le décor "Ilbery" de son confrère qui consiste à graver le mécanisme avec des décors orientaux en utilisant l'échappement double inventé par  un autre artisan de Fleurier,  Edouard Jacot .
Pendant ce temps, Georges A Leschot perfectionne l'échappement à ancre à repos et permet ainsi à la manufacture Vacheron et Constantin de transformer sa fabrication manuelle en fabrication mécanisée. (1835). Suivi par Patek dont nous avons déjà parlé qui perfectionne le mouvement en élaborant un remontage à couronne. Lui aussi produisit des montres de luxe mais sa spécialisation actuelle est le cadran numérique .


 mais les françaises aussi  !!!!!

http://lebarboteur.com/2015/07/27/10-marques-de-montres-abordables/

Georges Frédéric Roskopf simplifie encore le système et fabrique la montre de son nom dite "montre du prolétaire "car elle ne coûtait que 20 francs suisses ;
toutefois médaillée  de bronze à l'Exposition Universelle de Paris.

https://journal.hautehorlogerie.org/fr/la-drole-de-montre-de-monsieur-roskopf-au-mih/

Une autre firme de la fin du XIXème la "Lange et fils" fondée en 1845 à Glashütte près de Dresde mêle son acquis de l'innovation technologique à l'école Breguet,  à la fusion des matériaux précieux ; elle englobe maintenant l'usine Ruhla.

 Je vous laisse finir ce tour d'horizon, où il y aurait encore beaucoup à dire car il est temps pour moi, maintenant de m'occuper de mon jardin qui, lui, vit à l'heure des saisons.

 http://www.villes-villages-fleuris-de-france.fr/Horloges-Fleuries.html

http://www.lexpress.fr/tendances/montre/voyage-en-manufacture-horlogere_1265697.html

http://www.montres-de-luxe.com/Lange-Sohne-1815-200th-Anniversary-F-A-Lange-purete-et-simplicite_a10196.html


Les montres-bracelets


 https://www.youtube.com/watch?v=yaBNjTtCxd4

 Philippe Patek est le premier à lancer la montre-bracelet Suisse en 1868.
 Louis Cartier lui emboite le pas en 1888 avec des modèles en diamants taillés en rose.
  Les choses deviennent sérieuses  lorsque  l'Alsacien Edmond Jaeger décide en 1907 de lui consacrer toute sa production avec trois autres horlogers Dagonneau, Brédillard et Prévost.
 Outre l'aspect pratique de cette formule qui met l'heure à votre entière disposition, la mode aussi est un facteur favorable à la diffusion de cette création ; facilitée à vrai dire par la suppression des manches longues et des longs gants de soirée.
Comme pour les pendules mystérieuses Cartier va s'en donner à coeur joie utilisant toutes les facettes de son inventivité avec toutes sortes de formes sans oublier toutefois les montres pendentifs. 


  en haut à gauche :  or, émail noir, roses et émeraude de 44 carats pivotant sr un arceau  serti de diamants. 1923

 au-dessous :  cordonnet de soie noire, émail noir, corail
 et montre tube de rouge à lévres  


  Montre boule en émail rose 1925 et  montre-bracelet 1942  cadran coulissant

 Ce début du XXème siècle permet encore l'utilisation des pierres précieuses ou semi-précieuses.pour une clientèle fortunée. 
  Pour le modèle "tonneau" de 1906, le bracelet est en cuir blanc, les attaches d'émeraude, le pourtour en diamants.
 On retrouve un modèle "Tortue" dont en 1913 le boitier et les attaches sont faits d'une seule fonte, 
Ces modèles sont encore d'actualité.
Je serai surtout admirative pour une montre bracelet plus sportive,  la montre-bracelet "Santos-Dumont" 
 L'aviateur brésilien Alberto Santos-Dumont est un ami et client de Cartier qui va mettre au point pour lui une montre bracelet qui portera son nom et lui permettra de marier l'élégance au côté pratique.
La version "sport" de 1978 est visible au Musée de l'aviation.

https://www.lesrhabilleurs.com/cartier-santos-dumont-a-lorigine-des-montres-bracelet/

 Vont se succèder les montres "Baignoire" 1912 et "Tank" dessinée à la fin de la première guerre mondiale, en 1919 , inspirée par les chars blindés.




suivies en 1930 par les montres gadgets qui ont peut-être inspiré les fournisseurs de James Bond ....
la montre coupe-papier, la montre tube de rouge à lèvres; la montre pince-billet et j'en passe..


 à gauche, le plus petit de tous les modèles créés, un rubis orienté à midi
 et à droite  de 1930 la montre coupe papier en agate, argent et lapis-lazuli.

 ci-dessous trois montres pour le sac en 1929 et 1930



http://www.cartier.fr/fr/collections/montres/montres-masculines/santos-de-cartier/santos-dumont.html#

http://www.la-croix.com/Culture/JO-machines-volantes-Santos-Dumont-exposees-Rio-2016-04-27-1300756247

 actualité du 27 avril 2017

https://journalduluxe.fr/montre-en-meteorite-de-bethune-db28-tourbillon/


jeudi 6 avril 2017

Les pendules mystérieuses

 Nous sommes là dans la fabrication d'une grande famille d'orfèvres et d'horlogers les Cartier,  de Louis- François Cartier (1819-1904) suivi d'Alfred (1841-1925) et  ses trois fils, Louis Pierre et Jacques qui prend en 1908 la direction de la boutique de Londres.
Il vous faut lire l'ouvrage de Gilberte Gautier "La Saga des Cartier 1847-1988 Editions Michel Lafon.
 Mais voyons en quoi les pendules de Cartier sont mytérieuses.................?
 C'est Maurice Coüet (1885-1963), là encore on retrouve la "patte" de Bréguet puisque son grand-père y travaillait, qui consacre toute sa production à Cartier dés 1900, et amène un souffle nouveau sur des styles encore marqués par le XVIII ème siècle. Cartier était influencé par Fabergé ; il applique sur ses pendules des émaux aux tons pastels sur l'or et des tonalités plus franches sur l'argent.
Coüet en 1912 commence par inventer les pendules "comètes" ou "planètes" après avoir éudué les travaux de Nicolas Grollier de Servière, horloger lyonnais dans les années 1600.

Sa première création en 1925 est la pendule" carpe", en jade, ( les poissons sont importés de Chine) où les minutes sont marquées par un disque rotatif et les heures par un demi-cercle extérieur. Une merveille et on la considère déjà comme "semi-mystérieuse".


Il ne pouvait s'arrêter en si bon chemin ce "semi-mystère" se poursuit dès 1927 avec la pendule "Tortue".
Onyx, cristal, jade, corail ou ivoire apportent leurs notes colorées sur ces pendules dites à gravité ou tambour.
Maurice Coüet n'a que vingt-huit ans  lorsqu'il invente ces bijoux d'horlogerie véritables miracles  où les aiguilles semblent flotter dans l'espace.
C'est en cela qu'elles sont mystérieuses : et je n'en dévoilerai pas ici les secrets..


La chimère est en agate chinoise du XIX ème siècle : turquoises perles et nacres.

 Un autre ouvrage a été consacré à cette exceptionnelle production, Hans Nadelhoffer, y a détaillé  ce qu'il appréhendait comme cinq modèles principaux. 
en 1913, le cadran rectangulaire, le second, rectangulaire en 1920 ; en 1923 vient le modèle "Ecran" puis le modèle "Portique ". 
Sur 90 pendules  qui ont vu le jour entre 1913  et 1930 puis après l'interruption de la Seconde Guerre mondiale jusqu'en 1977,  les dessinateurs Charles Jacqueau et Georges Rémy ont donné libre cours à leur inventivité. réalisés à leur suite par le travail des "orfèvres-boitiers", "émailleurs", sertisseurs, lapidaires, graveurs et polisseurs, le tout en une douzaine de mois environ.

 Magnifique  !.... en voici quelques exemples, régalez-vous !!

 Pendule mystérieuse, dite du second type, octogonale, gravée au nom du roi Farouk d'Egypte. Onyx, corail et or
Le dessin préliminaire est à droite. 

  de gauche à droite et de haut en bas 
  Le premier :  un des plus beaux modèles de Cartier en 1923 réalisé en six versions différentes, celui dit" Portique" ; or jaune rehaussé de cabochons de corail, portiques en onyx.

 La seconde pendule mystérieuse est dite "Chimère".
En Corail la "tortue chimère" supporte un vase de corail de Chine XIX ème.

 La troisième à gauche est la pendule mystérieuse" Tortue" caractérisée par un mouvement magnétique, en marbre, le plateau formant cuvette où la tortue en écaille marque le temps en nageant (1927).

La quatrième pendule mystérieuse est la pendule "Elephant" dans le style du XVIII ème où l'on aimait placer les cadrans sur des animaux.



Sur ce document seules les deux dernières du bas sont mystérieuses

celle de gauche est du type quadrangulaire de 1913 : taillée dans un cristal de roche rehaussé de nacre.

 celle de droite est le type"Ecran" de 1923 qui sera succédé par sept autres variantes jusqu'en 1954. Les turquoises y sont prédominantes. .
Pour les deux du haut les modèles sont antérieurs à l'invention de Coüet.

celle de gauche dans le style "Fabergé" est un cube émaillé d'un bleu délicat (1908) et sa voisine de style Louis XVI a l'originalité d'un cadran horizontal dont l'idée revient à Jean-François Forty en 1770. De 1904 , ce vase est en marbre bleu turquin.
 Mais les Cartier  se sont pas spécialisés  dans d'autres styles  !!

 cela sera la surprise de demain.  
 
 https://books.google.fr/books?id=xnKpjh1gkqgC&pg=PA4&lpg=PA4&dq=cartier+hans+nadelhoffer+book&source=bl&ots=MphKMbWnX7&sig=QSe3cuCKIqjoi6QOGwmxhhdlDMM&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjLn9qPuo_TAhUBXRQKHefTAVU4ChDoAQh6MA4#v=onepage&q=cartier%20hans%20nadelhoffer%20book&f=false

http://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2017/magnificent-jewels-and-jadeite-hk0721/lot.1790.html

 http://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2014/magnificent-jewels-ge1405/lot.453.html

 https://www.pinterest.com/pin/343540277804129218/

mercredi 5 avril 2017

Les horloges de parquet



Tout simplement parce que elles sont posées par terre et pas seulement que sur les parquets, l'horloge Comtoise marquait l'heure pratiquement dans tous les foyers des campagnes.
 Son tic-tac paisible animait les fermes et maisons du XIX siècle.
Jugées encombrantes, elles sont passées dans le domaine de l'Antiquité.
Jacques Brel l'évoque dans une de ses chansons.
 Souvent en sapin décorées de ravissants bouquets.
 Elle est l'application même du pendule de Huygens par Ahasuerus Fromanteel, à Londres ; plus tard améliorées par l'invention de l'échappement à ancre en 1670 et plus tard encore par Graham en 1715 avec son  nouvel échappement.
 Les anglais Chistopher Gould, John Knibb, Daniel Quare ou James Clowes fabriquent en 1670 des horloges qui disposent de sonneries.
 Si la laque multicolore et les décors floraux sont toujours à la mode , ces horloges évoluent aussi avec les nouveautés, rocaille ou néo-classicisme.
 Nous assistons toujours à ces échanges européens, les Allemands de 1700 importent les mouvements anglais et Jean Lerb à Ratisbonne en était le fervent utilisateur ;  mais les plus belles venaient de l'atelier de M Artz à Munich.
 Les gaines "rococo" étaient fabriquées à Bâle par Johann Georg Dirr.
Les gaines en acajou de l'ébéniste David Roentgen (1743-1806) qui   collabore avec l'horloger Peter Kinzing sont les plus célèbres.
La plupart de ces créations est conservée dans les musées de Stocklom et Copenhague
 Quelque fois ces horloges prennent de la hauteur et sont incorporées dans le mobilier elles vont même aller jusqu'à émettre de la musique 
Rien n'arrête l'évolution.
 Il nous faut citer en France des artisans comme Nicolas Petit, Martin Carlin, Robert Robin, Jean Lepaute fils et Ferdinand Berthoud.
 Nos horloges de parquet plus ou moins dérivées du style rocaille parisien subissaient les influences anglaises ou hollandaises ; .
Mais ce sont celles qui sont fabriquées en Franche- Comté qui sont les plus répandues, la gaine est en forme de violon et la tête au fronton droit laisse apparaître la plaque moulurée, émaillée ou ciselée du cadran ; en Poitou et en Provence la tête était souvent sculptée en relief dans un bois de chêne.
Les ateliers de Morez portaient une lentille repoussée en relief sur une tige compensatrice et les ateliers de Morbier préféraient la lentille  en forme de violon comme le contour de la gaine
 La surface de la lentille était aussi décorée en "repoussé "de vases, de bouquets etc

                     http://www.proantic.com/horloges-de-parquet.php



 Mais styles, provenances ou spécialités des pays n'en finissent pas de présenter des originalités; elles sont preque aussi nombreuses que les minutes égrennées en une journée.
Les Américains abandonnent 'la Grand-father clock" de parquet pour la shelf clock ; Simon et Aaron Willard créent la "banjo clock" et obtiennent un brevet en 1802.
 Sawin and Boyer en 1820 se spécialisent dans la "lyre o'clock".
 Les Français ne sont pas de reste la pendule du Parisien A. R. Guilemetin  vous est tendue par une  gracieuse sculpture  de style antique, qui conserve le mouvement dans son socle et cela ne s'arrêtera pas là !  
Et à l'Est quoi de nouveau ? ...
 la mesure de temps  européenne ne parvient au Japon qu'en 1873 à la suite d'un voyage de Yasaburo Nirichica Ohino aux Pays-Bas en 1867 qui fonde des ateliers d'horlogerie qui perdurent encore dont Seiko Hattori & Co.
 Auparavant  les Chinois et les Japonais divisaient la journée en deux parties du crépuscule à l'aube et inversement. Chaque cycle correspondant en six périodes "toki" variables selon les saisons chaque période correspondant à un signe du zodiaque et comptées à l'envers .... un casse-tête !!! neuf heures du Rat = minuit ;  huit heures du Taureau  , le   sept, heure du Tigre  etc 
Pour le second cycle qui commençait à Midi c'était l'heure du Cheval suivie de la Chèvre, du Singe, du Coq , soit 8h 7h 6h  etc   

       http://www.horlogerie-suisse.com/horlomag/jsh-histoire/0035/anciennes-pendules-japonaises
                                                                                    
 http://www.besancon-ville-du-temps.fr/le-musee-du-temps-hommage-a-la-memoire-collective-bisontine/

 http://www.antiquites-en-france.com/antiquites/-/-/18eme-siecle/horlogerie

http://viepaysanneautrefois.free.fr/chapitres
/ch02/232_ComtoisesCagesFer_223a229.pdf

https://www.youtube.com/watch?v=M-nyLvIuHDU

http://comtoise.caudine.pagesperso-orange.fr/