lundi 9 janvier 2017

du Canal du Midi au toit du monde

J'abandonne momentanément les Abattoirs pour vous transporter à nouveau sur le toit du monde.
Cheminer, du canal du Midi par les arrières du Musée Labit par le jardin où le soleil couchant fait des rases mottes,
 tourner autour du bâtiment et découvrir déjà un peu les photos d'Isabelle Garcia- Chopin.
C'est la suite de voyage :

http://actu.cotetoulouse.fr/le-musee-georges-labit-et-ses-tresors-dextreme-orient-a-toulouse_16510/








































































               On rentre  :

                                                                                     à suivre

vendredi 6 janvier 2017

transition

Il est difficile de passer de ces sommets himalayens à des sujets plus terre à terre.
 J'avais envisagé de vous envoyer mes voeux d'autres sommets mais l'actualité m'avait fait abandonner ce projet.
 Voici donc :

à 2000 mètres, nuit noire sur le ciel Andorran



J'avais aussi été aux Abattoirs, attirée par la maquette de Werner Herzog pour un film que j'avais adoré : Fitzcarraldo :

https://www.youtube.com/watch?v=F53yUsgVuL0


Très impressionnée aussi par une série de peintures corporelles dont je n'ai choisi que la plus neutre :

 http://africa.ubangi.collection.overblog.com/peintures-corporelles

  Mais c'est un article que je dois encore structurer car l'exposition qui se termine était très vaste et mérite que je m'y repenche.
  D'autant plus que vous connaissez ma formule... une prise de contact générale puis un retour sur ce qui m'a interpellé autant dire un va et vient
  et dans les Abattoirs sur les trois étages, il y a de quoi faire !!! 





On pourrait, vu la personnalité de cet artiste, pu penser à un mandala qui n'est toutefois pas éphémère...

http://www.metapsychique.org/Augustin-Lesage-un-peintre-mineur.html
                                                                                          à suivre

jeudi 5 janvier 2017

dernières images

En info matinale, je reçois l'annonce de la construction d'un "périphérique " au Tibet !
Nous nous acheminons doucement vers la fin de cette série d'articles consacrés au Bouddhisme Tibétain, initiation à une culture où je n'ai pas trop insisté sur la représentation des thangkas,  à la lecture sans doute un peu ardue pour ceux qui n'en ont pas l'habitude.
Je dois cependant vous montrer le plus ancien de la Collection du Musée Labit, où je me rendrai cette fin de semaine :


                Drapeaux à prières au bord du lac Kathag: Yukam : Sikkim. Inde


                                            à Toulouse.


 C'est à l'issue d'une année d'études à l'Institut de Science et de Théologie des Religions à Toulouse que j'avais présenté un rapport de fin d'études, évidemment sur l'art .... du Bouddhisme dans la construction du Temple de Borobodur. 
 J'avais conclu par un emprunt aux "Voies du Silence"  d'André Malraux : 

"L'art est l'âme du passé au sens où chaque religion antique fut une âme du monde.
La leçon des Boudhas de Nara  ou celle des danses çivaites n 'est pas une leçon de bouddhisme ou d'hindouisme.
Et le Musée Imaginaire  est la suggestion d'un vaste possible projeté par le passé, la révélation de fragments perdus de l'obsédante plénitude humaine, unis dans la communauté de leur présence invaincue.
Chacun des chefs-d'oeuvre est une purification du monde, mais leur leçon commune est celle de leur existence, et la victoire de chaque artiste sur sa servitude rejoint dans un immense déploiement, celle de l'art sur le destin de l'humanité.
L'art est un anti-destin "

Et j'avais insisté sur le fait qu'à mon sens, l'architecture  de Borobodur est une leçon de bouddhisme.
 Tout comme l'art des cathédrales est une leçon de la religion chrétienne.

 http://whc.unesco.org/fr/list/592/

mercredi 4 janvier 2017

Toujours sur les sommets

 Dans la video présentée au Musée, la restauratrice de ces thangkas nous a expliqué que ces images étaient consacrées ou habitées si vous préférez, et que l'on ne se lançait pas dans cette restauration sans quelques prières qui éloignent la déité concernée pour la réintégrer lorsque le travail est terminé, de la même façon.
Après cela, vous ne vous en approchez pas au cours de la visite sans un certain respect.


 Ah !! cette photo-là, je l'adore !!