mercredi 3 février 2016

Chandeleur

 C'était hier la confection traditionnelle des crèpes mais qui va perdurer jusqu'au Carnaval. Fête des laboureurs, quelques traditions y sont attachées ; la première de  ces "pescalhous" de farine, d'eau et de graisse doit être donnée aux poules pour qu'elles pondent toute l'année.
Sa forme ronde a quelque relation avec le solaire.


Dans les Pyrénées pour la St Blaise, le 3 février, les paysans accrochent une crêpe à la corne de leurs vaches pour les empêcher de devenir malades durant l'année à venir. Pour Mardi gras nous verrons les autres coutumes attachées à cette date.
Quatre églises au moins sont dédiées à Saint Blaise, Bélesta et Ercé,




 les Pujols et l'Hopital St Blaise


http://www.hopital-saint-blaise.fr/

Blaise de Sébaste était médecin mais aussi très proche de la nature oû il s'était retiré auprès des animaux sauvages avec lesquels il faisait bon ménage.

Mais l'actualité du jour est l'exposition du Catalan Tapiès que je vais aller visiter prochainement.



http://actu.cotetoulouse.fr/tapies-parla-parla-une-nouvelle-expo-debarque-aux-abattoirs-de-toulouse_28798/?utm_source=newsletter&utm_medium=newsletter&utm_campaign=L%27actualit%C3%A9+%C3%A0+Toulouse%2C+mercredi+3+f%C3%A9vrier

à Toulouse les mimosas sont en fleurs, taches lumineuses au coin d'une rue ou à l'angle d'un chemin, et son parfum est inimitable !!!
 mais aussi les amandiers.


mardi 2 février 2016

Du Bibent à Sarajevo

                                                photos Isarde

 Vous l'allez voir, voici un établissement Toulousain, qui heureusement perdure !!

https://fr.wikipedia.org/wiki/Caf%C3%A9_Bibent

                                                   Plafond central

http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/20/1110895-axel-letellier-l-archi-du-bibent.html

                           Autre style: dans la proche rue Gambetta.

 Agréablement nommé style "nouille" sur les sites suivants vous trouverez  bien qu'intitulé" Paris", l'essentiel des architectures toulousaines de cette époque.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Art_nouveau

http://paris1900.blogspot.fr/

lundi 1 février 2016

lumières et flambeaux



                                   Phare sur la ville, le clocher des Jacobins


Il n'y a pas que sur le Pont d'Avignon qu'on y danse, qu'on y danse ................

                                               Place du Capitole

                            En route pour les festivités d'un anniversaire.

Dans ce reliquaire, solennellement en procession dans le cloitre des jacobins, en l'occurence le crâne d'un grand penseur, Théologien Dominicain, Saint Thomas d'Aquin et en ce 28 Janvier date de son arrivée à Toulouse et les 800 ans de la fondation à Toulouse de cet ordre des Frères Prêcheurs.
Solennité célébrée par l'Archevêque de Toulouse en présence d'une foule nombreuse .
 http://classes.bnf.fr/dossitsm/b-thomaa.htm


  Les voutes célèbres des Jacobins résonnant des voix pures du Choeur Organum

http://www.jacobins.toulouse.fr/decouvrez-le-chant-dominicain

https://www.youtube.com/watch?v=hIA4wMJVW6g

https://www.youtube.com/watch?v=Hmy757zHBb4
  
Mon jeune Guilhem, impressionné par les chasubles de fête des "célébrants" m'a rappelé cette magnifique exposition que j'avais vue en 1997 en Avignon au Palais des Papes  dont il est fait mention sur " Persée" malheureusement sans les photos.

http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1998_num_156_2_1794000_t1_0221_0000_4

Dans son analyse critique de mon blog qu'il ne m'a transmise que par mail perso il a tout à fait raison, je ne lâche un sujet que lorsque j'ai pu en faire le plus possible l'analyse .
http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1967_num_125_2_7792

mercredi 27 janvier 2016

suite et fin

Avant de continuer mon récit, des nouvelles, ce matin, de la route de la soie:

https://www.connaissancedesarts.com/archeologie/sophie-makariou-suit-les-traces-de-la-route-de-la-soie-1134431/

( Au fur et à mesure que je découvre ce récit, la tentation de le rebaptiser "Songe d'une nuit de pleine lune" me vient à l'esprit, Destel devait mal dormir , il s'est lancé dans cette cavalcade, espérant en ressortir épuisé et enfin s'endormir .... peut-être ..ou bien l'a-t-il rêvée ? )
    " Au sommet des montagnes du Couserans, les aigles planaient toujours.
Balezil gratta du sabot la pointe du Crabère et siffla.
Le sifflement, c'est le garde-à-vous de l'isard, connu des chasseurs.
A ce signal, l'un des aigles blancs interrompit sa ronde, flécha sur un jeune chevreau, l'encercla de serres attentives et, à petite allure, fila vers l'Est.
Balezil, lui, sauta dans le vide.
Deux cents isards, lancés à toute vitesse, suivirent le chef.

 Ses cils d'or projetaient un faisceau lumineux à l'égal d'un phare sur la mer.
Presque à le toucher, le rapace orientait Balezil, pendant que le chevreau, sans crainte aucune, caressait du front le ventre de son ravisseur.
Derrière l'aigle blanc tel un sillage sombre ayant un bruit d'hélice, des aigles bruns volaient.
Parfois, leurs serres détendues, peignaient avec douceur les croupes moites des isards.Du Crabère au Mauberné se continua la chevauchée fantastique que les cauchemars imitent quelquefois : une espèce de tonnerre roulant de falaise en falaise, de ravin en ravin, avec, sur le passage de la harde folle, un chapelet d'avalanches : débris de roches dégringolant sous les onglons des bêtes jusques aux pins éclaboussés de lune .
 Réveillés par le bruit, des chiens hurlaient d'épouvante.
Les pâtres, sous la protection d'un signe de croix, se demandaient qu'elle était cette comète qui fusait au flanc des montagnes.
Lorsque la harde atteignit à la cime du Mauberné, l'un des trois aigles blancs se détacha de la ronde, plongea dans un abîme, revint avec un chevreau, se mêla au cortège volant et galopant, accompagné par les aigles bruns de l'endroit.
Sur les plateaux herbeux, les gracieuses antilopes de France glissaient comme des fantômes sous des écharpes d'ailes. Aux approches des gouffres, les oiseaux formaient au-dessus une couronne tournoyante ; et les sauvages sauteurs, ainsi avertis, franchissaient mieux ces puits d'ombre.
Balezil infatiguable vainquit le May-de-Bulard.
Un troisième porteur de chevreau abandonna le cercle blanc.
Sous l'averse bleue, la course hallucinante s'accélère, les névés plastronnent, les blessures des crêtes en haillons se mastiquent de noir, la raillère allonge sa toiture d'argent et l'archet d'une cascade racle le silence avec une telle force que le cirque s'emplit d'une brume de sons.
Une espèce de rage fuette les jarrets des isards. Le poil ruisselle de sueur.
L'écume s'arrache des bouches, vole au ras de la colonne, horizontale dure, comme des balles éclairantes.
Entre deux profondeurs saturées de vertige, le mince fil d'une arête résonne sous les sabots, et la file indienne de ces démons de la montagne exhale, tisse, déroule une voie lactée de vapeurs.........................................................
.....................................................................................................
...........................Bientôt, la harde, sous la voûte des ailes parvint au sommet de Bentefarine.
Le paraphe fabuleux, que les isards avaient voulu tracer du couchant au levant, était fini.
Sur chacun des sept pics, un couple d'aigles tournait encore.
Balezil, le coeur en tumulte, cueillit un edelweiss.

Campé à la cime du mont, dans l'attitude émouvante de la chèvre qui sert de sentinelle, il balança la fleur à la façon d'un encensoir.
A ce signe, les aigles remirent à leur mère les sept chevreaux vivants.
Autour d'eux, les autres bêtes, courantes ou planantes, composérent une foule.
Alors, au roi des rapaces blancs, Balezil fit hommage de l'étoile des neiges.
Le roi des airs parla :
"Aussi longtemps que le roi des cimes me remettra, tous les ans, à la pointe du jour, cette fleur blanche, reine des hauteurs pures, aussi longtemps la paix régnera entre les cornes de l'isard et les serres de l'aigle."
Ayant dit, le maître des oiseaux de proie s'envola, suivi des siens.
Ayant bien écouté, le maître des toisons paissantes descendit vers la zone des herbes.
 (Destel situe son récit dans les années 1200, puisque vous allez le voir ce sont les flèches sarrasines  qui sont responsables de l'extinction de ce pacte de paix.
 Il est une autre lecture que je vous recommande :  "Qund l'islam était aux portes des Pyrénées de Pierre Tucoo-Chala. Celui-ci, auteur de "Gaston Fébus, prince des Pyrénées", obtint pour ce recueil le prix Jules Michelet 1991.
Il vous entraîne dans d'autres cavalcades où vous aurez envie comme moi  de suivre les princes aragonais, béarnais et Gaston le Croisé.

 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00290171/document

         " Un rayon de soleil colore les plus hautes montagnes.
Balezil hume la frise matinale, frappe le sol avec fureur, siffle de façon lugubre.
Toute la harde bondit, ventre aux roches, les cornes droites, les naseaux fumants, s'engouffre dans un couloir.... et meurt sous les mille flèches sarrasines d'une avant-garde partie en chasse pour nourrir une armée.
Le cadavre blanc de Balezil, tombé dans un trou de neige, échappe miraculeusement à la vue des chasseurs.
Depuis, toutes les saisons, quand le 15 août sonne au calendrier du Temps, Balezil entr'ouvre ses cils d'or. Il se lève, dépaysé, secoue ses cornes interrogatives. En vain. Sa mémoire succombe sous un fardeau trop lourd.
Ses yeux d'azur aperçoivent une fontaine de sang.
Elle rougit l'endroit où trépassèrent les compagnons de Balezil.
Son murmure plaintif éveille, de caillou en caillou, l'echo de quelque râle ; et les bords de la source se hérissent de fleurs à gueules écarlates, flammées de braise.

Feu et sang ! Balezil se souvient de la lune égorgée par les aiguilles du Crabère.
Il sait vaguement qu'il faut cueillir une fleur. Laquelle ? Qu'il doit la déposer à la pointe de Bentefarine afin de renouveler la paix entre l'aigle et l'isard. Vite, il coupe une tige de glaïeul, arrive pantelant à la cime de la montagne.... chaque fois pour y voir déchirer, du bec et de la serre, un tout jeune chevreau.

Et voilà pourquoi, malgré l'immortel Balezil, symbole de la paix fallacieuse, qui porte la fleur rouge au lieu de la fleur blanche.... voilà pourqoui la guerre continue, depuis des siècles, entre le bec et la corne, sur les montagnes du Couserans.
Et voilà pourquoi les rhododendrons, dans le désert des granits blafards, ont des pétales de sang rose : celui des chevreaux, qui pleut du ciel, lorsque les aigles passent.
Et voilà pourquoi, disent les cendres, les hommes, se trompant avec zèle, s'offrent, d'une montagne à l'autre qui s'appelle frontière, une dague de braise et de sang habillée de lauriers.




 Et puis non... c'est un récit qui n'a rien d'un songe,

 c'est une réalité habillée d' une grande sagesse et d'une grande poésie .


mardi 26 janvier 2016

La Fleur de l'Isard Blanc

http://www.ariege.com/decouvrir-ariege/flore-et-faune-sauvageRien qu'avec ce titre vous pensez bien que je vous embarque dans une aventure montagnarde et plus précisèment Couseranaise; une petite préparation préalable pour illustrer cette légende de Louis-Henry Desteil, qui va vous faire vivre quelques instants privilégiés avec les aigles et les isards, et beaucoup de poésie.
Vous n'avez pas été sans remarquer que les isards et les aigles sont des emblèmes de la famille.

 sceau de mon père.




http://reseau-aigles-pyrenees.jimdo.com/




 La Fleur de l'Isard Blanc

Certaines légendes se blotissent encore dans les foyers de nos chaumières.
Icelles, bâties aux abords de la zone où le hêtre finit et le pin commence, allument toujours les mêmes feux qu'autrefois. Ces feux laissent des cendres pieuses. En sourdine, y veille toujours un tison rouge.
L'âtre, noir à souhait adore son caleil. Suspendu par un crochet de cuivre, le caleil sait marier avec douceur la lumière et la nuit.



Sa niche lumineuse creuse le clair obscur.
Un dos rond, sous un fichu de laine, épaissit ma pénombre.
Le visage de cette femme, bistre, pensif et anguleux, s'aiguise de reflets intermittents.
Elle regarde le mystère des flammes à l'agonie, en lutte avec le voile fin des cendres grises.
 Quelque fois, sensible à l'appel des vieux jours, la vieille grand-mère, écrasée de lassitude et de souvenirs, remue les bûches sous les cendres.
Et voici que les bûches mystérieuses mettent en mache la T.S.F ( télégraphie sans fil ) des vieux âges. Les braises vous parlent. Il suffit de savoir les entendre.
Tout gamin, par le truchement d'une aïeule, j'ai appris.
Ecoutez.
Je fouille les cendres avec le crochet de l'aïeule défunte.
La paupière grise d'un tison se soulève et sa prunelle pétille.
Ecoutons-la.
        Du Bentefarine au Crabère lors d'une nuit de pleine lune plus belle que le jour, les isards se réconcilièrent avec les aigles. Pour signer cette paix du bec et de la corne, des aigles blancs tournèrent de minuit à l'aube au-dessus des sept montagnes.
Trois aigles par pic : vingt-et-un rapaces.
A l'horizon cisaillé du Couserans, se dégagent le Bentefarine, le mont Bouch de France, le Valier, la Barlonguière, le May de Bulard, le Mauberné et le Crabère, ce mont sacré des vieilles chèvres.

 http://www.pyrenees360.fr/index.php?/category/Panoramas-du-Couserans

 En tout une longueur de quarante-cinq kilomètres.
Les aigles, sous la lumière bleue, suspendent un nimbe  de blancheur sur les sept colosses pyrénéens.
Les isards, eux, pour répondre à cette signature aérienne décidèrent d'apposer un gigantesque paraphe sur le flanc des mêmes montagnes et de terminer la cérémonie par un hommage au roi des aigles.
L'hommage deviendrait un rite annuel entre les deux races les plus altières et les plus libres du monde

Toutes les hardes se réunirent.
Les adultes les plus adroits, les plus vites et les plus vigoureux furent choisis.
Bien comptés ils étaient deux cents.
Prit leur tête, le roi des cimes, le seul qui, de la mer latine à l'océan vert, eût un pelage blanc.
Des cornes aux sabots, avait-il été modelé dans la neige ? Ses yeux d'azur se voilaient de cils d'or.
Le 15 août sonnait au calendrier du Temps. Les étoiles, mi-éteintes par la splendeur de la lune, sommeillaient dans les cieux.
En bas, dans les ornières des vallons, la nuit s'écoulait vers la plaine.
Les feux des masures, archipels de constellations tombés dans les ravines, étoilaient les ténèbres.
Au loin, la ville des évêques, Austria la Romaine, incendiée par quelque conquérant, se réverbérait comme un lac de glaïeuls.
Le silence habillait les monts. Des mâts d'or, enfoncés dans les étangs, amarraient la lune au milieu du ciel et tremblaient à peine dans un friselis d'écailles étincelantes, comme si, de là-haut, l'astre nocturne eût tiré sur des cordages bleus........................................................................................
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                                                                             à suivre

http://www.ariege.com/decouvrir-ariege/flore-et-faune-sauvage
                        

lundi 25 janvier 2016

Plumes

 J'espère que vous avez largement exploité les annonces des prochaines expositions.

Elles ou ils arrivent tous les quatre ensemble en commando, picorent les miettes que les mésanges bleues ou charbonnières ont détaché des boules de graisse, et repartent ensemble.
 C'était tôt ce matin et le soleil barré par le massif qui me domine n'était pas encore arrivé.

Plus matinaux que les mésanges qui ne viennent que lorsque la température a monté.
C'est ensuite un ballet ininterrompu entre les divers postes de nourrissage, les boules de graisse ou les graines de tournesol. Il est d'ailleurs impossible de les photographier quand elles piquent sur le plat.
Lorsque je suis installée dehors elles n'hésitent pas à me survoler mais il faut que je ne bouge pas même le petit doigt  !

                            Je serais curieuse de savoir où elles nichent.
              J'ai déjà eu deux nichées dans cette maisonette. Les va et vient des parents ont usé la peinture du seuil.

                                                                            

Oh ! les charmants oiseaux joyeux !
Comme ils maraudent ! comme ils pillent !
Où va ce tas de petits gueux
Que tous les souffles éparpillent ?

Ils s'en vont au clair firmament ;
Leur voix raille, leur bec lutine ;
Ils font rire éternellement
La grande nature enfantine.

Ils vont aux bois, ils vont aux champs,
À nos toits remplis de mensonges,
Avec des cris, avec des chants,
Passant, fuyant, pareils aux songes.

Comme ils sont près du Dieu vivant
Et de l'aurore fraîche et douce,
Ces gais bohémiens du vent
N'amassent rien qu'un peu de mousse.

Toute la terre est sous leurs yeux ;
Dieu met, pour ces purs êtres frêles,
Un triomphe mystérieux
Dans la légèreté des ailes.

Atteignent-ils les astres ? Non.
Mais ils montent jusqu'aux nuages.
Vers le rêveur, leur compagnon,
Ils vont, familiers et sauvages.

La grâce est tout leur mouvement,
La volupté toute leur vie ;
Pendant qu'ils volent vaguement
La feuillée immense est ravie.

L'oiseau va moins haut que Psyché.
C'est l'ivresse dans la nuée.
Vénus semble l'avoir lâché
De sa ceinture dénouée.

Il habite le demi-jour ;
Le plaisir est sa loi secrète.
C'est du temple que sort l'amour,
C'est du nid que vient l'amourette.

L'oiseau s'enfuit dans l'infini
Et s'y perd comme un son de lyre.
Avec sa queue il dit nenni
Comme Jeanne avec son sourire.

Que lui faut-il ? un réséda,
Un myrte, un ombre, une cachette.
Esprit, tu voudrais Velléda ;
Oiseau, tu chercherais Fanchette.

Colibri, comme Ithuriel,
Appartient à la zone bleue.
L'ange est de la cité du ciel ;
Les oiseaux sont de la banlieue.

                    Victor Hugo

J'ai essayé de les prendre à rebours ; il était tentant de sortir, tout fume ce matin, les arbres, la rivière et tout s'égoutte; la chaleur emmagasinée hier aprés midi s'exhale ; il en sera de même aujourd'hui.
Un concert de pépiements habitait le palmier.
                  Le "Queen Elizabeth, sert de poste avancé d'observation

dimanche 24 janvier 2016

autre partage d'info

Musée de Valence et de Chagall à Nice.

http://culturebox.francetvinfo.fr/expositions/le-musee-d-art-et-d-archeologie-de-valence-attire-de-plus-en-plus-de-visteurs-234023

Chagall à Roubaix, aussi

http://www.lavoixdunord.fr/region/roubaix-derniere-ligne-droite-pour-l-expo-chagall-au-ia24b58797n3287281?xtor=RSS-2