statue de 11 mètres en cuivre doré à la feuille
C'est le phare qui veille sur les Marseillais, où que l'on soit, sur terre, sur mer
de jour, de nuit, elle domine la ville.
le félibre Frédéric Mistral l'a chantée.
Le Félibrige a été fondé au château de Font-Ségugne (Châteauneuf-de-Gadagne, Vaucluse), le 21 mai 1854, jour de la sainte Estelle, par sept jeunes poètes provençaux : Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Théodore Aubanel, Jean Brunet, Paul Giéra, Anselme Mathieu et Alphonse Tavan. Ensemble, ils entendaient restaurer la langue provençale et en codifier l'orthographe.
C'est François 1er qui la dote de ses fortifications, lors de sa guerre contre Charles Quint.
Elle participa à tous les grands événements, peste, libération etc
Joseph Autran crée un poème pour son bourdon fondu par Gédéon Morel
« Chante, vaste bourdon ! chante, cloche bénie
Répands, répands à flots ta puissante harmonie ;
Verse sur la mer, sur les champs, sur les monts ;
Et surtout dès cette heure où ton hymne commence
Entonne dans les cieux un chant de joie immense
Pour la cité que nous aimons ! »
Sur chaque pays, sur chaque cime,
Notre nation, toujours chrétienne,
A dressé pour ta gloire - en plein ciel - des chapelles ;
Toutes les fleurs de ses montagnes,
De la Provence à la Bretagne,
Te brûlent leur encens : et leurs petits oiseaux
Te chantent les sept allégresses
Qu'à Bethléem tu leur appris,
Quand tu berçais l'Enfant aux langes de lumières.
Point de bourgade, chaque année,
Qui ne te voues son moi de mai,
Femme bénie, victorieuse du serpent !
Et point de prêtre dans son prône,
Point de marin sur mer ou de pâtre au désert,
Qui ne te dise « Notre-Dame » !
Et l'Univers, de coeur et d'âme,
Te prie agenouillé et se joint au concert.
Si à Toulouse tu t'appelles
Notre-Dame de la Daurade
(Car l'or pur du soleil s'efface devant toi);
Si d'Avignon, Marseille à Vienne,
Ô Notre-Dame de Provence,
Le tombeau de Sainte Anne appelle tes bienfaits ;
Au Puy, sur le rocher Corneille
C'est bien nous, Vierge toute belle,
Qui t'avons baptisé « Notre-Dame de France »!
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Sur chaque pays, sur chaque cime,
Notre nation, toujours chrétienne,
A dressé pour ta gloire - en plein ciel - des chapelles ;
Toutes les fleurs de ses montagnes,
De la Provence à la Bretagne,
Te brûlent leur encens : et leurs petits oiseaux
Te chantent les sept allégresses
Qu'à Bethléem tu leur appris,
Quand tu berçais l'Enfant aux langes de lumières.
Point de bourgade, chaque année,
Qui ne te voues son moi de mai,
Femme bénie, victorieuse du serpent !
Et point de prêtre dans son prône,
Point de marin sur mer ou de pâtre au désert,
Qui ne te dise « Notre-Dame » !
Et l'Univers, de coeur et d'âme,
Te prie agenouillé et se joint au concert.
Si à Toulouse tu t'appelles
Notre-Dame de la Daurade
(Car l'or pur du soleil s'efface devant toi);
Si d'Avignon, Marseille à Vienne,
Ô Notre-Dame de Provence,
Le tombeau de Sainte Anne appelle tes bienfaits ;
Au Puy, sur le rocher Corneille
C'est bien nous, Vierge toute belle,
Qui t'avons baptisé « Notre-Dame de France »!
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Sur chaque pays, sur chaque cime,
Notre nation, toujours chrétienne,
A dressé pour ta gloire - en plein ciel - des chapelles ;
Toutes les fleurs de ses montagnes,
De la Provence à la Bretagne,
Te brûlent leur encens : et leurs petits oiseaux
Te chantent les sept allégresses
Qu'à Bethléem tu leur appris,
Quand tu berçais l'Enfant aux langes de lumières.
Point de bourgade, chaque année,
Qui ne te voues son moi de mai,
Femme bénie, victorieuse du serpent !
Et point de prêtre dans son prône,
Point de marin sur mer ou de pâtre au désert,
Qui ne te dise « Notre-Dame » !
Et l'Univers, de coeur et d'âme,
Te prie agenouillé et se joint au concert.
Si à Toulouse tu t'appelles
Notre-Dame de la Daurade
(Car l'or pur du soleil s'efface devant toi);
Si d'Avignon, Marseille à Vienne,
Ô Notre-Dame de Provence,
Le tombeau de Sainte Anne appelle tes bienfaits ;
Au Puy, sur le rocher Corneille
C'est bien nous, Vierge toute belle,
Qui t'avons baptisé « Notre-Dame de France »!
Frédéric Mistral (1830 - 1914)
Sur chaque pays, sur chaque cime,
Notre nation, toujours chrétienne,
A dressé pour ta gloire - en plein ciel - des chapelles ;
Toutes les fleurs de ses montagnes,
De la Provence à la Bretagne,
Te brûlent leur encens : et leurs petits oiseaux
Te chantent les sept allégresses
Qu'à Bethléem tu leur appris,
Quand tu berçais l'Enfant aux langes de lumières.
Point de bourgade, chaque année,
Qui ne te voues son moi de mai,
Femme bénie, victorieuse du serpent !
Et point de prêtre dans son prône,
Point de marin sur mer ou de pâtre au désert,
Qui ne te dise « Notre-Dame » !
Et l'Univers, de coeur et d'âme,
Te prie agenouillé et se joint au concert.
Si à Toulouse tu t'appelles
Notre-Dame de la Daurade
(Car l'or pur du soleil s'efface devant toi);
Si d'Avignon, Marseille à Vienne,
Ô Notre-Dame de Provence,
Le tombeau de Sainte Anne appelle tes bienfaits ;
Au Puy, sur le rocher Corneille
C'est bien nous, Vierge toute belle,
Qui t'avons baptisé « Notre-Dame de France »!
Frédéric Mistral (1830 - 1914)