dimanche 23 juin 2024

Dans mon jardin

  Entre deux voyages et les recherches historiques qui les accompagnent,

 l'art du jardin retient toute mon attention ;  je ne pense pas toujours à 

vous envoyer les fleurs qui  se succèdent au fil du printemps bien que j'en

 poste tous les jours une sur mon Instagram.

 Cette année je pourrais vous dire que les roses ont beaucoup pleuré, les 

lys qui leur succèdent ont bien du mérite de s'épanouir sous des pluies 

incessantes, fines ou violentes.




 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Une belle journée entrecoupée  de fraîcheur ont permis aux pavots

 de m'offrir de beaux tableaux ; fantasques, car ils poussent où ils

 veulent, parfois au détriment des plantes à côté de celles où ils ont élu 

domicile.


 



















La créativité de la nature est admirable au même titre que celle des 

humains. Leur longévité aussi, à tel point que j'ai oublié bon nombre de 

leurs noms.  J'ai toujours privilégié les plantes qui se sont installées et 

ont envahi leur lieu de villégiature.( les muguets, les hellébores )

 Mon jardin est aussi habité par les oiseaux que je nourris ; le geai vient 

tous les jours chercher ses cacahuètes sur le pilier de l'escalier qui 

descend au jardin et les écureuils jouent à s'attraper autour du tronc du 

grand cèdre. Le geai vit des jours difficiles, il se fait chasser par les

 merles qui protègent leurs nids .       

 


              Il suffit de saisir le rayon de soleil ou bien le contre-jour 

 


  Une différence toutefois, mais de taille, les fleurs naissent 

s'épanouissent et se flétrissent pour revenir l'année suivante aussi belles:

les créations humaines si elles ne sont pas définitivement détruites de 

main d'hommes, traversent les siècles, sauf peut-être le bois qui exposé

 aux intempéries ne fera pas long feu ! ...

La fascination de l'homme pour l'or,  s'explique par son caractère

 indestructible.

  



 



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