Transformation du titre de l'exposition qui a pris place dans ce lieu prestigieux ;
bien digne de celles qui l'ont précédé, bien pourvue en documents, enluminures
peintures et sculptures:
elle m'a rappellé " Trésors enluminés de Toulouse à Sumatra" avec laquelle
j'avais commencé ce blog en 2014.
Tradition oblige, les reflets d'entrée, un peu modifiés cette année :
Il y avait une atmosphère de printemps dans le cloître
et quelques clés de voûte, dont celle-ci qui attire plus particulièrement mon attention puisqu'elle appartenait à la Dalbade chère à mon coeur (mariages baptème etc) avant que son clocher ne s'effondre.
Je tourne autour du pot....., bien sûr !! mais c'est pour mieux savourer !!!
je ne vous envoie pas mes ressentis sans avoir préalablemnt revécu la
contempation des oeuvres d'art ou de nature.
Visage emprunté à un des vitraux de St Marie d'Auch
que vous verrez à l'intérieur.
et la "vedette" Dame Toulouse.
Fondue en bronze en 1550 par le maître artilleur Claude Pelhot.
Son pied reposait sur une sphère ornée de fleurs de lys, son bras élancé
supportait une girouette et l'autre prenait appui sur un bouclier portant les
armes de la ville . L'inscription CPQT (Capitolium Populusque Tolosanus)
est le pendant du SPQR de la République Romaine .
Trônant alors au sommet de l'Hôtel de Ville, le Donjon du Capitole.
Mais comme souvent une république en détrône une autre, la voilà perchée
sur le monument dédié au Maréchal Dupuy en 1834.
Si vous passez par la place Dupuy et la Halle aux grains chère à
Michel Plasson, vous y verrez sa remplaçante, resplendissante de dorure.
Cet original au centre des Augustins coule des jours heureux !!!
enfin on l'espère !!!
à suivre